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: 1° les différences de langue, de religion, de «
race
», de coutumes et de niveau de vie entre Bretons et Languedociens, Fr
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Dieu, quelle que soit sa nation, sa couleur ou sa
race
. L’Égypte ancienne ne croyait rien de tel. Le mot homme y était synon
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ncepts de l’esprit » plus redoutables encore : la
Race
des maîtres, le Herrenvolk, le Prolétariat et sa dictature… Pourquoi
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, on commet une erreur plus grave : on confond la
race
avec la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plu
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peuples réellement existants. (Or) le fait de la
race
, capital à l’origine, va donc toujours perdant de son importance. L’h
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umaine diffère essentiellement de la zoologie. La
race
n’y est pas tout, comme chez les rongeurs ou les félins, et on n’a pa
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ppartiens !… » … Ce que nous venons de dire de la
race
, il faut le dire de la langue. La langue invite à se réunir ; elle n’
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de renouvellement. Je saurais même me figurer des
races
épaisses et hésitantes, qui, dans notre Europe hâtive, auraient besoi
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s ? Parce qu’elle est habitée par une quantité de
races
qui sont singulièrement opposées les unes aux autres, et dans leurs i
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rtout mais qui s’ignorent ; je ne sais combien de
races
, de classes et de dialectes, jalousement préservés, et presque sans m
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produites par nos diversités, — de religions, de
races
et de coutumes, d’idéologies, d’ambitions. Mais lorsque ces diversité
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urel de la Suisse, cœur de l’Europe et limite des
races
, le Gothard est le grand symbole autour duquel tous les Confédérés pe