1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 rd une déesse, l’une des trois-mille Océanides, «  race sainte de filles qui, avec Apollon et les fleuves, nourrissent la jeu
2 em a été plusieurs siècles alliée avec Dieu en la race d’Abraham, si a elle toutefois répudiée. Mais le mariage, par lequel
3 ujettissement et de leur esclavage perpétuels. La race des Grecs, occupant les contrées intermédiaires, réunit ces deux sort
4 uppa habitans) connaît son nom et la gloire de sa race  ; tandis que l’auteur de la Vie de Landibert écrit : En ce temps-là,
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
5 s de ces pays. Et comme la souche primitive de la race humaine fut plantée aux rivages de l’Orient, et que de là notre race
6 antée aux rivages de l’Orient, et que de là notre race s’est propagée des deux côtés en multiples rameaux pour s’étendre enf
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
7 causes des choses, nous ont tous confirmé que la race la plus vigoureuse, la plus courageuse et la plus résistante est cell
8 uverain de l’Allemagne et d’un si grand nombre de races et de royaumes. Il est vrai que l’Europe est très forte ; mais de quo
9 nd du fils aîné de Japhet, Gomer, fondateur de la race gallique au témoignage de Josèphe… Toutefois, Postel est loin de se r
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
10 et comme absolue de la religion européenne, de la race blanche et de la langue française. Anne-Robert-Jacques Turgot, baron
11 vant on n’avait fait que de vains efforts. Si une race asiatique n’avait point passé en Europe et en Afrique, et si d’Europe
12 pas un don de l’homme en entier, mais de la seule race blanche et barbue. Par alliance, la race basanée et barbue, la race b
13 la seule race blanche et barbue. Par alliance, la race basanée et barbue, la race basanée non barbue, et la race noire ont g
14 rbue. Par alliance, la race basanée et barbue, la race basanée non barbue, et la race noire ont gagné quelque chose. Tout ce
15 anée et barbue, la race basanée non barbue, et la race noire ont gagné quelque chose. Tout ce qu’on dit des climats est une
16 eur la plus commune de la logique. Tout tient aux races . La première, la plus noble des races, vient naturellement du Nord de
17 t tient aux races. La première, la plus noble des races , vient naturellement du Nord de l’Asie. Les Russes en tiennent le plu
18 alliées en Europe, a fait la perfection de notre race . Les Chinois ne se sont abrutis que par la non-mixtion ; et depuis l’
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
19 Grèce, de la Macédoine et de Rome, élevaient une race de soldats, exerçaient leurs corps, disciplinaient leur courage, mult
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
20 usement assuré que tous les animaux, ainsi que la race humaine, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la
21 Européens. C’est à nous à relever l’honneur de la race humaine et à faire connaître la modération à ces frères usurpateurs.
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
22 au chef visible de cette dernière. Aux peuples de race différente qui vinrent plus tard, on inculqua, en même temps que la n
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
23 grands travaux intérieurs. Peupler le globe de la race européenne, qui est supérieure à toutes les autres races d’hommes ; l
24 uropéenne, qui est supérieure à toutes les autres races d’hommes ; le rendre voyageable et habitable comme l’Europe, voilà l’
25 en deux systèmes d’une diversité tranchante. La race audacieuse de Japhet n’a cessé, s’il est permis de s’exprimer ainsi,
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
26 e avait été généreusement laissé à la malheureuse race humaine et rendu obligatoire pour chacun de ses actionnaires, comme l
27 de l’humanité, comprenant la majeure partie de la race blanche ou des nations européennes, en nous bornant même, pour plus d
28 umes qui suivent les raisons pour lesquelles « la race blanche possède, d’une manière si prononcée, le privilège effectif du
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
29 tion géographique que de celui du climat ou de la race . Ce fait apparaît clairement si on considère sa structure entrecoupée
30 me fait peut se déduire aussi de la qualité de la race , qui est blanche, japhétique, et qui appartient à la branche principa
31 qui sont harmonisées par l’unité dominante de la race et des rites chrétiens, puisque la valeur de chaque force créée naît
32 r en face d’elle un empire allemand et toutes les races allemandes réunies. La Confédération se composa donc de principautés
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
33 on trouve là-bas n’est qu’un développement de nos races et de notre genre de vie : en fait, New York et Lima nous importent d
34 autres populations fossiles de la Sibérie, seules races d’êtres, à ma connaissance, que nous ayons tirés de l’obscurité, et c
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
35 antique et herdérienne d’une nation fondée sur la race , la langue, la naissance, le passé, Renan oppose l’idée d’une nation
36 est maintenant un pays germanique de langue et de race  ; mais, avant d’être envahie par la race germanique, l’Alsace était u
37 ue et de race ; mais, avant d’être envahie par la race germanique, l’Alsace était un pays celtique, ainsi qu’une partie de l
38 de chaque nation est constituée sans doute par la race , la langue, l’histoire, la religion, mais aussi par quelque chose de
39 e : L’homme n’appartient ni à sa langue, ni à sa race  : il n’appartient qu’à lui-même, car c’est un être libre, c’est un êt
40 , on commet une erreur plus grave : on confond la race avec la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plu
41 es. Il n’y eut jamais de patriotes assyriens… La race , la langue, la culture, définissent-elles à bon droit une nation ? L
42 de la carte d’Europe n’a tenu aucun compte de la race , et les premières nations de l’Europe sont des nations de sang essent
43 ns de sang essentiellement mélangé. Le fait de la race , capital à l’origine, va donc toujours perdant de son importance. L’h
44 umaine diffère essentiellement de la zoologie. La race n’y est pas tout, comme chez les rongeurs ou les félins, et on n’a pa
45 appartiens !… … Ce que nous venons de dire de la race , il faut le dire de la langue. La langue invite à se réunir ; elle n’
46 ilà ce que l’on comprend malgré les diversités de race et de langue. … Par leurs facultés diverses, souvent opposées, les na
47 e plus en plus des conditions qui font naître des races liées par le climat et les mœurs, et qui s’affranchissent chaque jour
48 de renouvellement. Je saurais même me figurer des races épaisses et hésitantes, qui, dans notre Europe hâtive, auraient besoi
49 itée par le mélange démocratique des rangs et des races . Le xixe siècle est le premier qui connaisse ce sens devenu son sixi
50 er radicalement les rangs et, par conséquent, les races , est, par cela même, sceptique du haut en bas de l’échelle, tantôt an
51 s ? Parce qu’elle est habitée par une quantité de races qui sont singulièrement opposées les unes aux autres, et dans leurs i
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
52 git est la vie, toujours et uniquement la vie, la race , la victoire de la volonté de puissance, non celle des vérités, des i
53 ifié la vérité et la justice à la puissance, à la race , et condamné à mort les hommes et les peuples qui prisaient les vérit
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
54 de la nation juive, s’étend aux gentils de toute race  ; il leur confère par le baptême la dignité nouvelle de chrétien comm
55 une autorité simultanées, là est l’Europe. Toute race et toute terre qui a été successivement romanisée, christianisée et s
56 er le monde. Nous avons conscience des droits des races et des civilisations sujettes, et nous ressentons à la fois le besoin
57 s peuples non occidentaux peuvent différer par la race , la langue, la civilisation, la religion, ils seront tous d’accord su
58 t les hommes : leur histoire, leur langue et leur race , leurs us et coutumes et leurs lois, leur culture et leur religion. L
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
59 25 : Ce noble continent est le foyer des grandes races ancestrales de l’Occident. Il est la source de la foi et de l’éthique