1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 ’est pas qu’il ait jamais craint de tirer sur ces racines , fortement : mais il a vu qu’elles tenaient bon, qu’elles tenaient tr
2 t Ramuz croirait-il à l’être collectif, être sans racines , mythe cérébral. « Je ne distingue l’être qu’aux racines de l’élément
3 , mythe cérébral. « Je ne distingue l’être qu’aux racines de l’élémentaire », écrivait-il dans ses Six Cahiers. Parlons plutôt
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
4 entendus42. À ce prix, l’on nourrit une paix sans racines . (Alors que toute communauté réelle naît d’une entente passionnée sur
5 ente tout d’abord, rendre un corps et refaire des racines matérielles aux dérivés les plus exsangues, c’est rénover l’action co
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
6 s une espèce de vice ? Est-ce que ce n’est pas la racine de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir, s’ils veulen
7 ir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas aussi la racine de cet esprit d’abstraction égoïste dont nous souffrons tous ? Pourqu
4 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
8 icularisme approfondi rejoint l’universel par les racines . C’est, comme ils disent, de la vraie « culture ». Il faut mettre hor