1
’est pas qu’il ait jamais craint de tirer sur ces
racines
, fortement : mais il a vu qu’elles tenaient bon, qu’elles tenaient tr
2
t Ramuz croirait-il à l’être collectif, être sans
racines
, mythe cérébral. « Je ne distingue l’être qu’aux racines de l’élément
3
, mythe cérébral. « Je ne distingue l’être qu’aux
racines
de l’élémentaire », écrivait-il dans ses Six Cahiers. Parlons plutôt
4
entendus42. À ce prix, l’on nourrit une paix sans
racines
. (Alors que toute communauté réelle naît d’une entente passionnée sur
5
ente tout d’abord, rendre un corps et refaire des
racines
matérielles aux dérivés les plus exsangues, c’est rénover l’action co
6
s une espèce de vice ? Est-ce que ce n’est pas la
racine
de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir, s’ils veulen
7
ir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas aussi la
racine
de cet esprit d’abstraction égoïste dont nous souffrons tous ? Pourqu
8
icularisme approfondi rejoint l’universel par les
racines
. C’est, comme ils disent, de la vraie « culture ». Il faut mettre hor