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re révolution. Ce n’est pas encore s’attaquer aux
racines
vives du désordre. La seule rupture véritable, efficace, est celle qu
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e, la seule totale, et la seule qui s’attaque aux
racines
des mythes modernes, dont l’expression suprême s’appelle l’État. Là o
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aximum ! Nous voulons une reprise à la base, à la
racine
de tous les problèmes. Nous savons bien que seules les révolutions fo
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ttaquer plus franchement nos désordres dans leurs
racines
spirituelles, il faudrait surtout être, et ils ne sont pas. Ce qui le
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tat totalitaire. Tant qu’on n’a pas détruit cette
racine
de la guerre, on ne peut empêcher le pire, qui devient dès lors fatal