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es ; elle suppose bien plutôt la connaissance des
raisons
d’être de ces diversités. Vouloir les ignorer par gain de paix, les p
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aménager selon les désirs d’un corps vil et d’une
raison
mal éclairée ; partout, le collectif-sacral refoulait le rationnel-in
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trop facile. (On perd en chemin le monde créé, sa
raison
d’être, la connaissance et la maîtrise de ses structures.) Le danger,
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dessin de cet ouvrage ? Voici maintenant quelques
raisons
qui justifient le procédé. L’Inde a joué en Asie un rôle très compara
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me des Européens : il doit y avoir à cela quelque
raison
. Tout bien considéré, je n’en trouve pas de meilleure que cette fameu
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Je crains que M. Berl ne mobilise la Vérité, la
Raison
, la Justice, le Droit, et Romain Rolland, que pour triompher d’un épo
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ônerai l’Europe ni contre la Vérité, ni contre la
Raison
, ni contre la Justice, ni contre la paix. Libre à M. de Rougemont de
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it Denis de Rougemont, à répandre un peu plus les
raisons
de croire à l’Europe. On sait que cet historien, ce philosophe s’est,
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st pas non plus l’Europe… On devine, pour quelles
raisons
. Mais que valent-elles ? Deuxième illusion fataliste : « L’Europe es
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lité de la matière et du corps ; la croyance à la
raison
et à la rationalité du cosmos ; la foi au transcendant, l’amour de Di
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niste, héritière des rêves alchimiques ; et de la
raison
profane, égalitaire, balayant les coutumes sacrées et les entraves an
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trales. Mais d’où venaient cette science et cette
raison
hardie rénovant les institutions, et cette ambition singulière de tra
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i leur retire la souveraineté et les réduise à la
raison
. Mais pourquoi la raison n’a-t-elle pas plus de force ? Pourquoi les
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neté et les réduise à la raison. Mais pourquoi la
raison
n’a-t-elle pas plus de force ? Pourquoi les masses suivent-elles leur
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t en lui, déjouant les conclusions sincères de sa
raison
, l’avait inconsciemment conduit à doter l’homme d’un suprême instrume
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et personne ne l’a jamais demandé, pour la simple
raison
qu’une culture ne se crée pas comme une institution, et qu’au surplus
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de nations différentes, ayant appris par cœur les
raisons
de se haïr dans leurs manuels d’histoire primaires et secondaires, s’
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ants internationaux : « Nous détestons pour telle
raison
précise les Anglais, les Français, les Portugais, mais en revanche no
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e non-sens ; c’est d’abord méconnaître sans nulle
raison
avouable l’objectif manifeste de la première, qui est d’aboutir à la
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ées, au cours d’un processus qu’on ne voit aucune
raison
de nommer décadence plutôt que renaissance. Observons qu’elles étaien
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ons également que cette époque a connu toutes les
raisons
que l’on invoque aujourd’hui au plan européen pour ne pas corriger de
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choses… Rien ne milite en sa faveur, pas même la
raison
, d’ailleurs bien faible, de l’économie… » Et Rossi concluait en montr
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contre les factions, centralisation des pouvoirs,
raison
d’État suprême en tout, puisque l’État incarne la mission universelle
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mbre 1791, cet appel à la « guerre sainte » de la
Raison
anticléricale : La guerre ! La guerre ! tel est le cri de tous les p
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les pour les devancer et les guider à la fois… La
raison
, rayonnant de partout, par-dessus les frontières, a créé entre les es
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menace porterait plutôt sur « les intérêts de la
raison
et de la civilisation ». Dans la préface à sa fameuse conférence pron
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ue et d’attachement à la glèbe, pour revenir à la
raison
, je veux dire au « bon européanisme ». Grâce aux divisions morbides q
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tend que les choses s’arrangent ? Il n’y a aucune
raison
pour cela. Des composés chimiques, qui sont séparément amorphes, prov
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es nationalismes. Et c’est à lui que 1914 donnera
raison
. Car 1914 sonne le glas non de l’Europe, certes, mais de l’Europe des
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eux et critique, le citoyen romain obéissant à la
raison
d’État, le fidèle chrétien obéissant à la déraison de la foi, le guer
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oir, imaginer et proposer à nos désirs et à notre
raison
, à notre volonté et à notre foi. Et alors, la liberté serait-elle du
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eux et critique, le citoyen romain obéissant à la
raison
d’État, le fidèle chrétien obéissant à la déraison de la foi, le guer
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que certains de mes lecteurs hésitent à me donner
raison
, parce qu’ils doutent de l’avenir prochain de notre Europe, et de son
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optées ou s’efforcent d’imiter. Les Européens ont
raison
d’être fiers d’une telle culture. Cependant, que font-ils aujourd’hui
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ne le crois nullement, et je vais en donner trois
raisons
principales. Première raison : la civilisation européenne est la seul
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ais en donner trois raisons principales. Première
raison
: la civilisation européenne est la seule qui soit effectivement deve
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îner le genre humain dans son désastre ? Deuxième
raison
: la civilisation européenne a créé les conditions techniques de sa c
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temps de l’humanité. Ceci m’amène à ma troisième
raison
d’avoir confiance dans la longévité de notre civilisation : on ne voi
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si des décrets de la morale et des conseils de la
raison
. L’amour-passion relève par excellence de l’âme. Or c’est dans le myt
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utade est moins sotte qu’elle n’en a l’air. Trois
raisons
l’excusent à mes yeux, sans la justifier pour autant. Et tout d’abord
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, de réflexes acquis — de sentiment autant que de
raison
. Donc une question de culture, d’éducation nouvelle. Mais « faire l’E
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s efforts vers l’union. Les uns et les autres ont
raison
, en ce sens qu’ils sont nécessaires, soit comme moteur, soit comme vo
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t diamétralement. Si les croyances populaires ont
raison
, le peu que l’on a fait jusqu’ici pour la culture était de trop. Si a
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opulation, sortie pour voir, avait l’air en fête.
Raisons
de croire que le coup nazi, raté cette nuit, sera suivi à bref délai
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st-ce point perdre, avant de se battre, l’une des
raisons
que l’on aurait de se battre, l’une des marques de cette indépendance
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ant, je me décidai donc à partir. Et, certes, les
raisons
qui m’animaient n’étaient point exactement celles qu’on eut alors au
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père le destinait à la science des lois, pour la
raison
qu’elle enrichit ceux qui la suivent, nous dit-il. Dieu toutefois me