1 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
1 on du christianisme ; à cette défection élevée au rang d’Institution ecclésiastique, qui aujourd’hui prétend durer et se déf
2 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
2 », c’est-à-dire : ce que l’homme place au premier rang d’un « ordre » humain et rien qu’humain sera au dernier rang de l’ord
3  ordre » humain et rien qu’humain sera au dernier rang de l’ordre spirituel, que Dieu ordonne. Et encore : le plus grand est
4 il de la nuit sans histoire où tous les hommes en rangs serrés sans fin marcheront sans repos, sans fatigue, dans l’innombrab
5 encore de me voir entraîné ce soir-là dans leurs rangs , serrant les coudes, entraîné par l’ivresse de la fraternité indiffér
6 , les commodités, les honneurs qui s’attachent au rang , au degré de fortune, à la charge, à la tradition, au nom, au métier.
7 scrètes qui mettent ou qui remettent chacun à son rang . Et le Français veut bien se vanter d’une telle finesse. Jusqu’au mom
3 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
8 de signer un manifeste ou de s’inscrire dans les rangs d’une ligue. On rougit de rappeler de tels truismes. Mais on y est bi
9 donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace se précise contre les libertés f
4 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
10 nt compte ni de la race, ni des traditions, ni du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n