1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 ère l’individu. Que le rationalisme soit passé au rang de doctrine officielle ne doit pas nous faire oublier son efficacité
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
2 a jugera vite de mauvais goût.) La convenance des rangs et la conformité des « qualités » deviennent la mesure idéale du bon
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
3 xve siècle, l’on se met à combattre à pied et en rangs . Autre transformation significative à la fin du siècle : les lansquen
4 valeur » des chefs gardent apparemment le premier rang parmi les facteurs de la lutte. La chevalerie représentait un effort
5 n « traite » un mariage : intérêt, convenance des rangs , apports territoriaux et financiers… La passion n’y joue plus le moin
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
6 re. 2. — Contraintes sociales. — Les questions de rang , de sang, d’intérêts familiaux et même d’argent, sont en train de pas
7 naturisme, les « fiançailles d’essai » élevées au rang de coutume normale parmi les étudiants, le sérieux accordé aux confli
8 tiques de divorce, où l’Amérique tient le premier rang . Vouloir fonder le mariage sur une forme d’amour instable par définit
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
9 fini de facteurs : caractère, physique, fortune, rang social… Mais pour peu que se précisent les exigences individuelles201