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longeait les bords de la rivière Yodogawa, il se
rappela
soudain que c’était un endroit célèbre pour les suicides, et qu’il av
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Un grand critique allemand, Ernst Robert Curtius,
rappelait
récemment dans un article qui fit quelque bruit37 les débuts piétiste
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d’autres objets de passion. Ou bien il faut leur
rappeler
des vérités d’un ordre tel que leur seule existence — si elles existe
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r quelques chrétiens. Leur office n’est-il pas de
rappeler
aux peuples où se trouvent les vraies valeurs, sans attendre que d’au
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charge, elle seule n’a rien à y perdre. Faut-il
rappeler
ici les graves avertissements de Berdiaev ? Faut-il une fois de plus
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et humiliant, qu’il faille un incroyant pour nous
rappeler
que le salut, pour le chrétien, n’est pas dans le Progrès indéfini de
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de mauvais. Juste et profond. Et toujours bon à
rappeler
, à ces « chrétiens » que terrorise l’idée même que le christianisme v
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ôlable, qu’elles ont perdu leur communion réelle.
Rappelons
ici l’histoire de la tour de Babel : la volonté de bâtir un monument
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it, complémentaire d’ailleurs, doit être au moins
rappelé
ici : la théologie de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les ortho
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ne, considérée comme nécessaire au salut. Mais je
rappellerai
les critiques que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du
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nt crucial de l’histoire — dans une situation qui
rappelle
étrangement la lutte présente entre démocratie individualiste et état