1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
1 La Loi est la « mesure » sacrée : c’est elle qui rappelle à la fois l’origine et la fin du peuple en tant qu’il est un « nouvea
2 e d’Égypte. Les prophètes seraient alors ceux qui rappellent le peuple au culte du vrai Dieu — contre les prêtres des dieux étrang
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
3 ent dans l’esprit du lecteur. Ce qu’il importe de rappeler ici, c’est que toute œuvre littéraire, si profane qu’en soit le sujet
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
4 d’exploiter l’équivoque. Mais il fallait au moins rappeler son existence, sous peine de tomber aussitôt dans les pièges grossier
5 de l’État déifié. Cette situation n’est pas sans rappeler celle de l’Empire romain au premier âge du christianisme, telle que n
6 effet la plus antitotalitaire par essence. Je ne rappelle qu’en passant les dragonnades et les guerres de religion qui les préc
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
7 ôlable, qu’elles ont perdu leur communion réelle. Rappelons ici l’histoire de la tour de Babel : la volonté de bâtir un monument
8 it, complémentaire d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : la théologie de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les ortho
9 ne, considérée comme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les critiques que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du
10 nt crucial de l’histoire — dans une situation qui rappelle étrangement la lutte présente entre démocratie individualiste et état
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
11 misme européen, par cette lettre fameuse qui nous rappelle d’abord que notre civilisation est mortelle comme les autres et prédi
12 ons de vies humaines. C’est ici qu’il convient de rappeler le décalage de la conscience dont j’ai parlé. Le mal dénoncé en son t