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mpassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne
rappelle
la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland : ici la mélancolie m
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quelques cris brisés : « Ô vieux Démon ! — je te
rappelle
— ou bien envoie — un héros — Ou bien — la sagesse. » Mais le feu s’é
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: Amsterdam-Basel-Milano-Zagreb-Bucuresti. Je me
rappelle
que j’en fis un poème. Pour la première fois, j’avais senti l’Europe.
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ai sous les yeux : je le vois déjà comme je me le
rappellerai
, une fois de retour en Europe. J’en connais par avance la nostalgie.
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e êtes-vous ? De Neuchâtel ? Attendez, Neuchâtel,
rappelez
-moi… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de Neuchâtel dans l
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nt « pour la pureté lustrale de ses eaux »… Il me
rappelait
un peu de tous mes autres lacs, mais il était surtout celui d’Œil de