1 une comparaison politique, est le type même d’un rapport fédéral : l’association de deux éléments contradictoires, entre lesqu

2 es questions qui se réfèrent à l’audiovisuel, aux rapports entre l’audiovisuel et le livre. On me fait remarquer que le livre a

3 n d’évacuer aussi le sens même de nos vies et des rapports humains, mariage compris. Car s’il y a aujourd’hui une crise du maria

4 rgé avec ses livres de casuistique sexuelle. Quel rapport avec le christianisme ? C’est la sécrétion normale de la Société, car

5 finit ensuite l’adjectif fédéral comme ce « qui a rapport à une confédération d’États », ainsi, par exemple, « la Suisse et les

6 trompent. Harmonieux ou non, conscient ou non, le rapport d’un Européen à la culture européenne — notre seule unité fondamental

7 lement sexuelle, mais aussi sentimentale dans les rapports quotidiens, comme étant l’union de ces deux choses contraires, à mi-c

8 tempéraments religieux différents. Il y a donc un rapport étroit entre fédéralisme et œcuménisme ? L’œcuménisme, pour moi, est

9 nsister sur le fait que ces frontières ont peu de rapports avec la sagesse politique, aucun rapport avec les intérêts économique

10 peu de rapports avec la sagesse politique, aucun rapport avec les intérêts économiques ou les réalités géo-ethniques, et des r

11 économiques ou les réalités géo-ethniques, et des rapports proprement négatifs avec la vie de la culture : les cordons douaniers

12 s divisent et animent nos nations sans le moindre rapport , sauf par hasard, avec le tracé des frontières, ou le drapeau ou la m

13 « 2 500 000 hommes au km2 en l’an 2400 » selon le rapport Nixon paru fin 1969), exercent d’ores et déjà des effets certains, mê

14 struits dans l’anarchie et sur la seule notion de rapport financier, par les soins de la génération actuelle, dans les années 1

15 ur qui méprise l’épreuve de l’engagement dans les rapports sociaux, et même de l’engagement dans un rapport concret avec un Autr

16 rapports sociaux, et même de l’engagement dans un rapport concret avec un Autre toujours insuffisant, jamais digne de son image