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, au problème absolument insoluble, puisque notre
rapport
à Dieu, depuis la chute, est paradoxe par définition. Tel est l’aspec
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n vrai discours sur Dieu. Mais comment établir le
rapport
nécessaire de ces deux aspects de la vérité à leur centre vivant ? Le
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s qu’elle combat, parce qu’elle figure l’image du
rapport
véritable entre les hommes, mais qu’elle la figure dans l’abstrait, d
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ans le plan même de ce qu’elle croit mépriser. Le
rapport
véritable entre les hommes, c’est la communauté des personnes respons
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personnes : elle n’est que l’expression de leurs
rapports
spécifiques. Elle a son centre en chacune des personnes qui la compos
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ni celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur
rapport
objectivé, vu par un tiers, se trouvent du même coup objectivés, et p
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ent du même coup objectivés, et prisonniers de ce
rapport
, le nous. Le groupe ainsi formé est défini par sa circonférence. Et c
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érer en soi comme des systèmes, indépendamment du
rapport
actuel d’un je et d’un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel,
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maine. On peut parler en termes de philosophie du
rapport
d’un je à un tu. Mais on ne peut le comprendre et le vivre, dans son
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ns son paradoxe profond, que si l’on se réfère au
rapport
primitif qui fonde la personne humaine : le rapport de l’homme à son
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pport primitif qui fonde la personne humaine : le
rapport
de l’homme à son Créateur. Le Droit romain a peut-être raison de refu
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èdent au concret de leur existence, assumant leur
rapport
de mutuelle responsabilité. Et ce rapport est orienté vers l’homme. M
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nt leur rapport de mutuelle responsabilité. Et ce
rapport
est orienté vers l’homme. Mais, dans l’homme, vers le nouvel homme, v
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avec tout ce qui n’est pas de son espèce que les
rapports
arides et fixes que l’utilité l’invite à établir entre eux et lui. Un