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ns maintenant le phénomène de la passion dans les
rapports
individuels. La passion, c’est l’amour exalté non seulement au-delà d
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t pas de malaise, ou en tout cas, le problème des
rapports
entre ces deux cultures en filiation n’aurait rien d’irritant ni de g
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jusqu’à l’anonymat, règne de la culture de masse,
rapports
humains durs et purement utilitaires. Tout cela corsé de griefs polit
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ie marche mieux, l’avenir est plus ouvert, et les
rapports
humains plus francs et plus cordiaux que chez nous. Politiquement, on
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ent dépasse son objet, il fait ses comptes et son
rapport
au comité, qui se décide objectivement, et qui se trompe une fois sur
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d’un écrivain, et les intérêts d’un ministre, les
rapports
, s’il en est, ne sont qu’accidentels. Il s’agit d’ordres différents,
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culture au sens moderne ? Certes, la question des
rapports
entre la science et la liberté a fait partie, dès le début, de notre
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ompte rendu des séances au cours desquelles vingt
rapports
concernant la liberté de la science et les relations entre les savant
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ssible que dans l’union. Ce fut le dernier mot du
rapport
de Toynbee : « Unissons l’Europe maintenant ! Nous n’avons pas de tem
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cessité « d’opérer un changement radical dans nos
rapports
avec le monde extraeuropéen et dans nos rapports mutuels » (Toynbee),
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rapports avec le monde extraeuropéen et dans nos
rapports
mutuels » (Toynbee), c’est-à-dire de regagner en prestige moral ce qu
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e, pas une crise et pas une bataille modifiant le
rapport
des forces ; pas un seul événement politique qui soit de nature à exp
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même, civil et religieux, forme personnaliste des
rapports
des deux sexes, puisqu’il suppose l’union au sein de la distinction,
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t dans nos vies, procède des options de Nicée. Le
rapport
est-il positif, dialectique, ou purement négatif ? Les aspects négati
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ue, ou purement négatif ? Les aspects négatifs du
rapport
religion-science ont été soulignés à l’envi par deux siècles de polém
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is que, de la mort du despote à la publication du
rapport
de Khrouchtchev en Occident, une courbe régulière se dessine, reliant
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ce propos ; mais il omet de les réfuter dans son
rapport
. 2. K. limite ses attaques contre Staline à ce qui s’est passé depuis
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ctaculaires. 5. K. n’ose pas publier lui-même son
rapport
, se réservant ainsi le droit de le démentir, en cas de besoin, selon
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ne veut rien changer ? Exactement ce qu’a fait le
rapport
de K. Au sujet de la folie de Staline, K. recourt au même procédé de
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ent proclamé est un changement psychologique : le
rapport
de K. le reflète, l’accentue et le rend irréversible. J’examinerai ma
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d changement » introduit dans la situation par le
rapport
K. et ses suites ? Sur les points 1 à 8 de ma liste d’exemples, K. et
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ant une éclatante infirmation. Est-il vrai que le
rapport
de K. me rejette à la condition d’intellectuel en chômage ? Au pire,
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es « distingués » ? Je croyais, naïvement, que le
rapport
K. devait, en somme, et en quelque manière, gêner plutôt les stalinie
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z libres ! », les a jetés dans un désarroi que le
rapport
de K. porte à son comble. « L’émotion légitime » qu’ils évoquent à ce
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muniste ? — Le problème est nettement posé par le
rapport
K. et ses suites. Jusqu’à la veille du rapport, en effet, dire que St
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le rapport K. et ses suites. Jusqu’à la veille du
rapport
, en effet, dire que Staline était le génial Père des peuples était «
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puisque c’est lui qui détermine la « vérité ». Le
rapport
K. remet tout en question. En effet, regretter, comme le font nos PC,
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PC, que la presse bourgeoise ait seule publié le
Rapport
, c’est dire, en d’autres termes : le Parti de Lénine (dont on soulign
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ocale, politiquement : elle ne concernait que les
rapports
des États-nations de l’Europe. Son importance réelle était plutôt rel
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contraire mondiale, elle compromet l’ensemble des
rapports
entre l’Occident et l’Asie, elle met en cause l’une des deux politiqu
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ité européenne, qui suppose une stabilisation des
rapports
entre la dictature soviétique et les démocraties occidentales, tend é
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la civilisation européenne tout entière, dans ses
rapports
inévitables et imprévus avec les peuples non préparés à l’absorber.
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litique française. Mais les deux choses sont sans
rapports
entre elles et sans rapports non plus avec ce qui est actif dans la r
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eux choses sont sans rapports entre elles et sans
rapports
non plus avec ce qui est actif dans la réalité française. Prenez le t
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t, un Roumain, un Arménien et un Irlandais. Aucun
rapport
avec Mollet, Bourgès, Duchet ou Mitterrand, qui ne vont pas voir ces
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partis, de la stabilité de l’exécutif et de leur
rapport
intime avec l’antinomie fondamentale de notre siècle : celle du régim
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intentions, en vertu d’une règle sacrée sans nul
rapport
aux situations toujours nouvelles. Cette espèce d’idéalisme politique
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sexuel » l’ennui qu’il s’agit de bannir de leurs
rapports
par toute espèce de variantes physiques ou psychiques. Mais le besoi
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e ? — Là est le nœud de l’affaire : dans tous les
rapports
extérieurs, la personne réelle doit représenter la personne rêvée et
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e et tension, ne sont guère définis que par leurs
rapports
mutuels et tirent de cette interdépendance leur valeur originale. Kas
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maintenant ce que le zen signifiait et dans quel
rapport
il pouvait être avec mon œuvre, qui comptait à ce moment-là plus d’un
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rouchtchev-Eisenhower a modifié la conscience des
rapports
entre les hommes ». Les problèmes sont posés désormais, « en des term
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fut pourtant le contraire d’un Don Juan. Dans ses
rapports
avec son œuvre, son action publique, et sa vocation finale, il fut Ha
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ehors », c’est-à-dire n’entretient encore que des
rapports
abstraits avec la vie, car « la résolution, la résolution de la convo
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ionnelle) lui interdit d’entrer avec elle dans ce
rapport
de communication directe, égalisante, en quoi consiste à ses yeux le
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rement. Tout cela signifie donc que c’est dans un
rapport
négatif que la femme rend l’homme productif dans l’idéalité. Ainsi co
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l’inconscient. La possibilité d’une inversion du
rapport
subsiste donc en permanence. Au surplus, dans la mesure où la conduit
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t avec raison : son Augustin à lui était sans nul
rapport
avec celui qu’avait canonisé « l’Obscurantisme ». Je crois avoir ét
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ndre ici, c’est tout ce que l’étude objective des
rapports
et des résolutions ne pourra révéler aux auteurs de thèses ; une cert
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ions ou d’organismes à créer. Toutefois, dans les
rapports
d’Henri Brugmans sur la politique européenne, de Maurice Allais sur l
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dérale et autonomie locale. Enfin, un remarquable
rapport
de Daniel Serruys propose les étapes suivantes pour l’organisation éc
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auxquels j’avais soumis une première esquisse du
rapport
qui devait faire l’objet des débats de la section culturelle, à La Ha
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ngrès « pour assurer l’homogénéité nécessaire des
rapports
des trois commissions ». C’était à quoi je tenais surtout. Ce point m
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restait à obtenir l’imprimatur du comité pour le
rapport
culturel, le rapport politique et économique étant déjà sous presse.
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imprimatur du comité pour le rapport culturel, le
rapport
politique et économique étant déjà sous presse. On était à dix jours
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nit le plus grand embarras : comment imprimer mon
rapport
, puisqu’il y en avait là deux autres, d’auteurs anglais, pleins de mé
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ocuments polycopiés… Je sentais qu’au-delà de mon
rapport
, on visait le Message final : on tentait de casser ou d’émousser cett
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on décollait, à midi je m’endormais à Ferney. Mon
rapport
culturel, à l’encre encore humide, fut remis aux délégués le deuxième
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celle dont j’avais la charge. Les débats sur mon
rapport
(création d’un Centre européen de la culture et d’une Charte des droi
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al, exige d’abord un retour à Dieu et dénonce mon
rapport
comme « antichrétien ». Enfin, Bertrand Russell, tout en relevant qu’
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tifs »159. Finalement, tout le contenu positif du
Rapport
passera dans la résolution votée à l’unanimité : Centre culturel, Cha
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es résolutions de La Haye160. Si l’on compare les
rapports
introductifs des trois sections, on est frappé par la similitude de l
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e fédéralisme réussit à influencer le langage des
rapports
et des résolutions, il ne triompha que dans les textes. L’unionisme,
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alliance de souverainetés nationales absolues. Le
rapport
politique (d’inspiration unioniste) proposait un conseil extraordinai
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sera le Journal d’un Européen (1946-1966). 150.
Rapports
et recueils de Résolutions de Montreux, La Haye, Westminster, Bruxell
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a Suisse , Neuchâtel, La Baconnière, 1940. 152.
Rapport
du premier congrès de I’UEF, 27-31 août 1947, Montreux, édité par l’U
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5). 161. Formellement, Sandys avait raison : les
rapports
demandaient une défense commune, mais les résolutions n’en parlaient