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tique et cette doctrine n’ont plus entre elles de
rapport
appréciable de hiérarchie ou de contradiction. L’une ignore les fins
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nité ; toutes les couleurs sont mesurées par leur
rapport
au blanc originel, et sont dites plus ou moins lumineuses selon la qu
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claire, à vrai dire de première importance : « Le
rapport
de la lutte des classes au mouvement culturel n’obéit pas à la loi de
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es semelles-crêpe. » C’est très bien d’établir un
rapport
entre la qualité des semelles et la culture générale. C’est très bien
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« Führerstaat » hitlérien49 considérés dans leurs
rapports
, avec la culture, au lendemain de la prise du pouvoir. Il m’apparaît
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es ou les fatalités de quelques mesures, et leurs
rapports
avec les fins qu’elles ont servies ou qu’elles entendent servir. La q
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me fait tout cet appareil qui prétend régler mes
rapports
quotidiens avec un monde hors de mes prises, l’État, la société telle
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douteuse, si elle peut attirer l’attention sur le
rapport
de vie ou de mort qui unit l’homme, être pensant, à son langage. Le m
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, un être avec lequel l’homme peut entretenir des
rapports
conformes à sa nature originelle. Mais que l’être et l’expression, en
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s qu’elle combat, parce qu’elle figure l’image du
rapport
véritable entre les hommes, mais qu’elle la « figure » seulement, qu’
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de l’extérieur, par une contrainte politique. Le
rapport
véritable entre les hommes, c’est la communauté des personnes respons
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e les personnes : elle n’est que l’expression des
rapports
personnels. Elle a son centre en chacune des personnes qui la compose
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lui de l’autre, c’est-à-dire considérés dans leur
rapport
d’objectivité, vu par un tiers, se trouvent du même coup objectivés e
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vent du même coup objectivés et prisonniers de ce
rapport
, le nous. Le groupe ainsi est défini par l’extérieur, disons par sa c
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érer en soi comme des systèmes, indépendamment du
rapport
actuel d’un je et d’un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel.
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ériles, c’est que l’humanité a perdu la vision du
rapport
humain authentique, celui qu’ici l’on nomme la Personne, celui que l’