1 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
1 tique et cette doctrine n’ont plus entre elles de rapport appréciable de hiérarchie ou de contradiction. L’une ignore les fins
2 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
2 nité ; toutes les couleurs sont mesurées par leur rapport au blanc originel, et sont dites plus ou moins lumineuses selon la qu
3 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
3 claire, à vrai dire de première importance : « Le rapport de la lutte des classes au mouvement culturel n’obéit pas à la loi de
4 es semelles-crêpe. » C’est très bien d’établir un rapport entre la qualité des semelles et la culture générale. C’est très bien
4 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
5 « Führerstaat » hitlérien50 considérés dans leurs rapports avec la culture, au lendemain de la prise du pouvoir. Il m’apparaît q
5 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
6 es ou les fatalités de quelques mesures, et leurs rapports avec les fins qu’elles ont servies ou qu’elles entendent servir. La q
6 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 me fait tout cet appareil qui prétend régler mes rapports quotidiens avec un monde hors de mes prises, l’État, la société telle
8 douteuse, si elle peut attirer l’attention sur le rapport de vie ou de mort qui unit l’homme, être pensant, à son langage. Le m
9 , un être avec lequel l’homme peut entretenir des rapports conformes à sa nature originelle. Mais que l’être et l’expression, en
10 s qu’elle combat, parce qu’elle figure l’image du rapport véritable entre les hommes, mais qu’elle la « figure » seulement, qu’
11 de l’extérieur, par une contrainte politique. Le rapport véritable entre les hommes, c’est la communauté des personnes respons
12 e les personnes : elle n’est que l’expression des rapports personnels. Elle a son centre en chacune des personnes qui la compose
13 lui de l’autre, c’est-à-dire considérés dans leur rapport d’objectivité, vu par un tiers, se trouvent du même coup objectivés e
14 vent du même coup objectivés et prisonniers de ce rapport , le nous. Le groupe ainsi est défini par l’extérieur, disons par sa c
15 érer en soi comme des systèmes, indépendamment du rapport actuel d’un je et d’un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel.
16 ériles, c’est que l’humanité a perdu la vision du rapport humain authentique, celui qu’ici l’on nomme la Personne, celui que l’