1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 on qui se posait alors à l’inquiétude de quelques rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-il que des individ
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
2 jurie jamais les bonnes, d’ailleurs elles sont si rares . On ne fesse pas les enfants : cela pourrait leur donner des complexe
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 ollaboration du démon », dit André Gide, l’un des rares hommes que j’aie connus qui croient au diable et qui en parlent bien.
4 de la haine. Non seulement la lucidité y est plus rare et difficile qu’au sein de toute autre passion, mais elle y est de su
5 leur, sagesse et folie, vie et mort. Rien de plus rare qu’une passion véritable, car elle suppose une très grande force d’im
6 que sont de ces attitudes capitales dont les très rares moments de pureté suffisent à déterminer l’atmosphère d’un ensemble h
7 s apparaissent comme des dons de la haine. Il est rare que l’amour ne soit pas criminel, d’une manière invisible peut-être,