1 ccepter in extremis. Si maintenant la Russie nous rassure , il est clair que tout est changé. Dès l’instant que nous cessons d’a

2 écentes conclusions : l’URSS ayant décidé de nous rassurer , l’Europe doit changer de politique. Le sentiment d’urgence et de dan

3 ssez grandes pour nous sauver. Que personne ne se rassure  ! Que quelques-uns se réveillent ! Pour nous, sans illusions et presq

4 43 et 48 millions d’habitants, seront sans doute rassurés à l’idée d’un bloc russe de 200 millions rétablissant d’un seul coup

5 ent porte sur fictive.) C’est ainsi que l’on doit rassurer ceux qui tremblent, disent-ils, de voir leur patrie « se perdre dans

6 rche à savoir pourquoi ; et s’il le trouve, il se rassure , car il saura faire mieux la prochaine fois.) Les moyens limités dont

7 . Mais à l’entendre parler… » l’auteur se déclare rassuré . Le second article commence ainsi : « Denis de Rougemont, ce grand ho