1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
1 tendresse virile qui est la rançon de son orgueil rationaliste . Certaine élite française enthousiasmée par l’idéal d’exportation de
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
2 our organiser la société (Comte). Tous les dogmes rationalistes qui vont constituer l’armature des idéologies les plus diverses du no
3 uvre est véritablement le microcosme de l’univers rationaliste . Contre une bourgeoisie trop vite satisfaite et qui s’est arrêtée à m
4 similitude profonde des deux grandes dogmatiques rationalistes qui dominent le xixe siècle : la dogmatique positiviste-réactionnair
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
5 les valeurs transcendantes, d’une certaine âpreté rationaliste qui rappelle les solides vertus de la bourgeoisie conquérante. Ce n’e
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
6 ce leur insuffisance. Tel fut le cas de la mesure rationaliste qui conduisit la bourgeoisie à son triomphe, puis à sa négation ; tel
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
7 concevoir en actes, et cela s’oppose à la notion rationaliste d’une pensée qui ne serait rien qu’un commentaire tardif aux actions
8 raient volontiers dictature et autorité. Illusion rationaliste , dont le crédit repose sur notre instinct de fuite devant les respons
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
9 eptent ses violences. Ainsi le veut non la raison rationaliste , mais la nature profonde de l’homme occidental, dont la tension parti
10 de l’État aux personnes. 99. Aux individualistes rationalistes , on peut faire remarquer férocement que le nom d’idiot désigne étymol