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vous contant les circonstances dans lesquelles je
reçus
l’annonce du prix Rambert. Depuis quelques mois, je m’étais entièreme
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écomposées par des siècles d’individualisme. J’ai
reçu
récemment d’Allemagne une lettre qui ne dit rien d’autre que ce que j
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omicile, ou plutôt aux innombrables domiciles, me
reçut
à la NRF. Pourrait-on s’imaginer, en effet, l’ex-« intellectuel en ch
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thare et de la poésie des troubadours, la passion
reçoit
droit de cité. Elle peut s’exprimer dans le langage du mythe sous une
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n veux d’autant moins que c’est chez lui qu’il me
reçoit
, un chez-lui tout provisoire, puisqu’il loge présentement dans un cla
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chose. Je puis le dire à sa louange : ce que j’ai
reçu
d’elle, de plus précieux, c’est ce qu’elle m’a donné sans le vouloir
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eurs assemblées. Ceux qui en deviennent membres y
reçoivent
une assistance matérielle, mais ils y trouvent aussi des possibilités
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e part racheté de son péché ; et d’autre part, il
reçoit
une mission nouvelle, une vocation. Il devient le serviteur du Maître
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petit nuage, il passera. » La semaine passée, je
reçois
une lettre de « quelque part dans le Proche-Orient », et une autre de
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ommentaire : « On dit que la “Ligue du Gothard” a
reçu
de nombreuses lettres de citoyens qui s’intéressent à elles et à ses
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abonnent « vu la crise » de la seule revue qu’ils
recevaient
: elle leur coûtait 10 fr. par an. Je vois enfin que toute notre poli