1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 évaudra jamais. Elle est un ordre, que nous avons reçu , et que nous n’avons pas le droit ni le pouvoir de discuter. Elle nou
2 n succès possible et prochain, mais parce qu’il a reçu un ordre, et que cet ordre vient de Dieu. « Ne vous conformez pas à c
3 nde chrétien est faite par des vocations précises reçues dans la prière, avec crainte et tremblement, et non pas revendiquées
4 réalité que tout chrétien connaît : l’homme qui a reçu une vocation et qui lui obéit dans ses actes. Voici ce que disent les
5 se peut que je me trompe. Il se peut que certains reçoivent l’ordre d’aller là où je crois ne pas devoir aller. Qu’ils le fassent
6 u Dieu qui les envoie ! — Il se peut que certains reçoivent l’ordre d’aller payer de leur personne, comme Kagawa dans les bas-fon
2 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
7 nous apprend que chaque homme est susceptible de recevoir une vocation, un appel spécial qui le distingue de son genre et qui l
8 ur lequel l’Église peut prier, est susceptible de recevoir une vocation. Maintenant les grandes maladies sociales et culturelles
3 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
9 re par là : l’Incomparable, l’unique, celui qui a reçu de Dieu une vocation précise, et il ajoute : toute vocation est sans
10 et paraît donc « invraisemblable » à celui qui la reçoit . Exemple, Abraham. h. « Chances d’action du christianisme », Le Seme