1
s existé dans l’histoire ? Un homme a-t-il jamais
reçu
le don terrible d’incarner sans le moindre défaut la Parole qui était
2
chante une dernière fois la loi, au moment qu’il
reçoit
la grâce de lui échapper : Wer immer strebend sich bemüht Den können
3
fforcé » a purifié le corps, et l’âme est prête à
recevoir
« l’amour d’en haut ». Car telle est le yoga occidentale, dont le Sec
4
une belle fortune. Et c’est ainsi que Kierkegaard
reçut
en héritage de son père, après une sévère éducation piétiste, un secr
5
dvient comme un appel dans les ténèbres. Certains
reçoivent
l’ordre de parler, et c’est là leur action, leur prophétie et leur sa
6
omme qui se met en devoir d’obéir à l’ordre qu’il
reçoit
de Dieu, — n’importe où et n’importe qui, à n’importe quel ordre reçu
7
porte où et n’importe qui, à n’importe quel ordre
reçu
, et sans nulle préparation. Comment un homme devient-il chrétien ? «
8
t point Isaac ; c’est par la foi d’abord qu’il le
reçut
.38 5.Le temps de l’acte est renaissance, initiation Entre la
9
es nous meut parce qu’il est un ordre, une Parole
reçue
d’ailleurs, une rupture de tout drame humain que nous puissions prévo
10
e ce monde est lui-même en révolte contre l’ordre
reçu
de Dieu, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une négation, c’est s’e
11
Il ne saurait se comparer qu’à la vocation qu’il
reçoit
. Où l’orgueil trouverait-il encore à se loger chez un être à ce point
12
si ton moi n’est pas à toi, s’il est une vocation
reçue
d’ailleurs, et si tu l’as reçu en vérité, tu n’as plus à choisir, ta
13
est une vocation reçue d’ailleurs, et si tu l’as
reçu
en vérité, tu n’as plus à choisir, ta mort est derrière toi, elle n’e
14
ne pourrait permettre d’accepter, quand le martyr
reçoit
sa mort avec une sorte de sobriété… Le croyant seul agit et seul il
15
relation avec les bureaux du château. Parfois il
reçoit
un message émanant d’un de ces bureaux. On le félicite pour son trava
16
la clé dans l’œuvre de Kierkegaard. Les messages
reçus
du Château ont tous les caractères de cet autre message qu’est la Bib
17
n que physique. Mais pour peu que l’esprit en ait
reçu
quelque pressentiment, quelque révélation même furtive et ambiguë, mê
18
enant, crois-tu cela ? » Si tu le crois, si tu as
reçu
la foi, il n’est plus rien de « difficile » dans les assertions de Lu
19
lui toutes les bêtes : elles s’approchaient pour
recevoir
leur nom (c’était leur nombre) et leur emploi. Il faut toujours remon
20
à-dire un événement perpétuellement possible, qui
reçoit
la vie comme un moule reçoit la matière en fusion ; qui la réalise so
21
lement possible, qui reçoit la vie comme un moule
reçoit
la matière en fusion ; qui la réalise soudain — la fait chose — en lu
22
damentale de l’être. La première impression qu’on
reçoit
de ce portrait serait trop faiblement traduite par le mot de méfiance
23
int de départ paraît bien être une blessure qu’il
reçut
de la vie, un choc qui l’a laissé béant sur une contradiction irréméd
24
le une vocation lui en donnera la force. Qu’il la
reçoive
, et qu’il l’accepte consciemment, ce sera pour lui l’introduction à u
25
démiurge anonyme et obscur dont il n’a plus qu’à
recevoir
les ordres, sans trop chercher à les comprendre, comme « passif ». Le