1 s’en tient au seul passé. À vrai dire, il ne peut recevoir une réponse significative que si l’on considère l’évolution d’ensembl

2 ion d’adolescent ? Ou simplement à cette commande reçue  ? Qui peut en décider ? Ce qui demeure certain, c’est qu’à partir d’u

3 par une grâce pure ; et pourtant l’homme qui l’a reçu doit agir comme s’il le gagnait ! Ce que saint Paul exprime dans cett

4 cation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait18. » L’homme de

5 ne humaine, c’est-à-dire à l’individu naturel qui reçoit une vocation de Dieu ; puis à tout être humain considéré dans sa dign

6 s closes et sacrées ; enfin, l’idée de la mission reçue ou vocation, transcendante par rapport à la morale commune et aux « i

7 nt. Ce qui se place dans le sens de l’Histoire en reçoit l’attribut d’exister. Ce qui résiste au sens est « mystification » au

8 Dès le iiie siècle, la côte indienne du Malabar reçoit des missionnaires chrétiens : les voyages de Thomas l’Apôtre (en 52)

9 ueil fait aux conquistadores ? L’empereur aztèque reçoit Cortés comme l’avatar du dieu Quetzalcoatl : c’est que ce dieu, selon

10 eut que les personnes qu’Elle désigne pour servir reçoivent des noms et prénoms en accord avec la tâche qui leur est confiée… Il

11 en accord avec la tâche qui leur est confiée… Il reçut donc comme prénom Cristóbal, c’est-à-dire Christum ferens, qui veut d

12 mpt pas, et Il ne dit pas non plus, après qu’Il a reçu le service, que Son intention était différente et que cela devait êtr

13 gnols : en quoi il se trompait, car l’appui qu’il reçut fut accordé pour des motifs bien différents. Et quant à l’esprit de c

14 ’Occident aient jamais cherché et voulu ce qu’ils reçoivent aujourd’hui comme leur dû. Que veulent en général les hommes occident

15 our toutes.) On peut penser que le monde entier a reçu les secrets de ses sciences, adopté ses structures politiques, ses va