1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 . Chacune avait dans les mains une corbeille pour recevoir des fleurs ; elles gagnèrent les prairies voisines de la mer, qui éta
2 , pour notre divertissement ; à coup sûr, il nous recevra toutes sur son dos étalé, tant il a l’air paisible et doux, et aimabl
3 ine, sous l’aspect d’un taureau. Mais la Crète te recevra bientôt ; elle m’a nourri moi-même ; c’est là que se célébreront tes
4 bien porter une haute fortune : une part du globe recevra ton nom. » Quatre siècles plus tard, voici le mythe attaqué et dénon
5 , les trois fils de Noé, Sem, Cham et Japhet, ont reçu en partage les trois parties du monde que sont respectivement l’Asie,
6 ent comment les fils de Noé au sortir de l’Arche, reçurent de leur père l’ordre de remplir toute la terre de leur postérité. Ils
7 nsion de l’Église chrétienne. Le concept d’Europe reçoit ainsi un contenu religieux en même temps qu’un contenu géographique.
8 e amiral carthaginois, Himilco, qui, selon Pline, reçut un siècle plus tard la mission de remonter les côtes atlantiques de l
9 onnaissions… On ne doit pas s’étonner que l’Ister reçoive tant de rivières puisqu’il traverse toute l’Europe. Il prend sa sourc
10 temps d’Homère, ni l’Europe, ni l’Asie n’avaient reçu leurs noms respectifs ; l’œcoumène ou terre habitée n’avait pas encor
11 bre. Eh bien ! à cet égard, là encore, l’Europe a reçu de la nature de grands avantages. Comme elle est, en effet, toute par
12 ’est une grâce singulière, à la vérité, qu’elle a reçue de la Sagesse éternelle ; mais que la gloire en est empruntée pour l’
13 ue la gloire en est empruntée pour l’Asie qui n’a reçu ce bienfait que par préférence ou par bonheur. Mais l’Europe, sans de
14 mains de la nature, notre partie du monde n’avait reçu aucun titre à cette glorieuse prééminence qui la distingue aujourd’hu
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
15 uridiction des princes et des peuples. L’empereur reçoit de lui son autorité temporelle, comme la Lune reçoit du Soleil la lum
16 oit de lui son autorité temporelle, comme la Lune reçoit du Soleil la lumière qu’elle nous renvoie. De lui viennent l’autorité
17 règle ou loi, les princes particuliers doivent la recevoir du monarque ; ainsi l’intellect pratique reçoit de l’intellect spécul
18 recevoir du monarque ; ainsi l’intellect pratique reçoit de l’intellect spéculatif la majeure qui commande la conclusion prati
19 partie de l’Asie. C’est d’un seul et même langage reçu dans le châtiment de la confusion que les diverses langues vulgaires
20 la manière la plus stricte, après qu’ils auraient reçu avant leur réunion les plaidoiries sommaires et claires de chaque par
21 oiries sommaires et claires de chaque partie, ils recevraient — en éliminant d’abord tout ce qui serait superflu et inepte — les pr
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
22 sur une heure après midi du lendemain. Vous fûtes reçu , comme il nous semble, par le comte Derby, et conduit vers le roi d’A
23 et de 2 pour les États plus petits. Ces Conseils recevront le pouvoir de trancher tout différend, tant entre un souverain et son
24 rtunée. Il entra dans les ordres mineurs, mais ne reçut jamais la prêtrise. À Paris, il fit carrière sous les auspices de Fon
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
25 et les plus destructives sont toujours les mieux reçues . Un Particulier qui découvriroit un moyen d’exterminer une nation ent
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
26 uis XIV appela le jeune homme à Paris, mais ne le reçut pas, les difficultés de la France avec le Sultan s’étant aplanies ent
27 e, de l’individuel. Ensuite parce qu’aux opinions reçues , on peut opposer des faits d’expérience, mis sans peine à la portée d
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
28 mes passions, les mêmes mœurs, parce qu’aucun n’a reçu de forme nationale par une institution particulière… Que leur importe
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
29 econnoîtra ce principe lumineux et immuable, sera reçu de droit dans notre association fraternelle, dans la République des H
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
30 d’un tel préjugé soit nécessaire pour que le plan reçoive audience. Quoi de mieux fait, pour préparer les esprits à recevoir un
31 . Quoi de mieux fait, pour préparer les esprits à recevoir une proposition de ce genre, que la proposition elle-même ? Et qu’on
32 onstitue, sur ces sujets, tout l’enseignement que reçoit le peuple. Enrico Michele L’Aurora, qu’on a nommé « il bizzarro agit
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
33 rofesse à l’Université d’Iéna ! C’est alors qu’il reçoit de la Convention le titre de citoyen français : et certes, son cœur e
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
34 genre, l’hospitalité fait la fortune de celui qui reçoit . … Enfin, il reste encore une chose, dont l’ignorance et la frivolité
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
35 es et encyclopédistes dans cette loge de paix, et recevez le baiser fraternel, dépouillez ce voile gris et regardez avec un amo
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
36 n, en entrant dans l’association, 1° ait autant à recevoir de l’État qu’il lui sacrifie ; 2° qu’il conserve toute sa liberté, sa
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
37 empire russe. À la manière de l’Orient, dont il a reçu l’origine et pris les mœurs, le gouvernement russe est concentré dans
38 r ce n’est que de l’étranger que nous pourrons la recevoir jusqu’au moment où nous égalerons le reste de l’Europe. Alors, quand
39 bien avant qu’ait été dressé le bilan général, a reçu la faculté d’être le plus russe précisément lorsqu’il est le plus eur
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
40 rit de mon prochain, c’est alors seulement que je reçois dans le mien l’esprit de ce prochain. La bénédiction de l’apôtre est
41 ce prochain. La bénédiction de l’apôtre est qu’il reçoit en soi les âmes de tous ceux qu’il évangélise : c’est la noblesse du
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
42 tantôt qu’une âme peut porter le malheur sans en recevoir la marque, sans qu’il change toutes les pensées d’une manière qui n’a
43 de l’Égypte, de Babylone, etc., et n’ont-ils pas reçu leurs enseignements ? Nous possédons aujourd’hui une masse de travaux