1 ment d’étoile. Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bé

2 mment la mesurer sans mauvaise grâce à qui vous a reçu comme un cadeau de Dieu. (« C’est Dieu qui vous envoie », dit la form

3 endroit, en ce temps. Qui sait si tu ne l’as pas reçue  ? Une qualité, une tendresse, quelque similitude… Oh ! si peu ! Mais

4 attends… Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part en nous-mêmes, dans la brume où nous sommes perdus avec

5 it de m’être réservé, ou quelles lettres j’allais recevoir le lendemain. Le soir montait autour de nous, des fenêtres s’allumaie

6 c’est un petit nuage, il passera. » Je viens de recevoir une lettre de « quelque part dans le Proche-Orient » et une autre des

7 se, au secret, et « facilita » une mission que je reçus quelques semaines plus tard, de conférences sur la Suisse aux USA. Le

8 ment lui résisterait-on ? C’est un ami. Il vous a reçus d’abord et vous a proposé ses façons et usages qu’il convenait d’aime

9 . Pourtant il s’interroge : comment l’eussent-ils reçu , gens de leur terre, lui le nomade ? Qu’y a-t-il encore entre eux et