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é, d’éliminer ou de refouler. Il s’agit ici d’une
recherche
, et non pas de littérature, malgré les multiples exemples que j’ai pr
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modifiant le sujet. Rien d’étonnant si une telle
recherche
m’a porté plus d’une fois bien au-delà des conclusions de L’Amour et
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tions entre l’amour humain, la vie de l’âme et la
recherche
spirituelle. Pour les classiques, l’amour ne pose guère de problèmes
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rticulier ou de telle attitude générale, mais des
recherches
sur la nature et les motifs des options caractéristiques d’une person
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es d’antan. Mais comment ordonner tout d’abord la
recherche
et la réflexion ? Je me suis proposé deux méthodes d’analyse, dont on
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ythe, pour s’engager dans la voie difficile d’une
recherche
de l’amour mystique : c’est ce qu’il nomme le règne millénaire ou l’a
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fi mortel. Mais quoi ! faut-il aller si haut ? La
recherche
« toute naturelle » de l’intensité du désir ne peut-elle expliquer à
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our. D’où son angoisse et sa course éperdue. L’un
recherche
dans l’acte d’amour la volupté d’une profanation, l’autre accomplit e
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ent ses limites, et les moyens particuliers de sa
recherche
. Sur un seul de ces entretiens, j’ai pris des notes. C’est celui du 2
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Grand pour la loi, grand pour le Tout. Il ne se
recherche
pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire, définie par la loi,
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égration de l’être. Loin de dissocier le moi, les
recherches
psychologiques du xxe siècle nomment et dénoncent les forces qui ten
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omme étant l’Image » ; enfin l’amour naturel, qui
recherche
la satisfaction de ses désirs sans souci de l’agrément de l’Aimé. « E
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a forme de pensée qui se révèle ici transcende la
recherche
moderne d’une formule du champ unitaire. Elle implique l’équation plu