1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 ées de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on voudrait y vivre ! y passer des s
2 pré ou dénude des roches noires, la veille encore recouvertes de sable. Peu d’hommes aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le
3 lle le père Renaud. Le sol est de la terre battue recouverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis, quelques petites g
4 are utilisent les vieilles tuiles concassées pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon r