1
rer en débutant perdront leur légitimité. Si nous
refusons
de considérer le fait d’être Suisses comme une espèce de filon, si no
2
upide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui
refuse
d’envisager la vie comme une totalité orientée par l’esprit. L’esprit
3
profit d’argent et l’augmentation du confort. Il
refuse
de se demander à quoi servira cet argent ou si le confort matériel fa
4
des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a
refusé
pendant cent ans d’envisager ? Pourtant, les plus grands hommes du de
5
ières excuses. Nous avons été avertis. Nous avons
refusé
d’écouter. Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injusti
6
s impérieuses de la défense nationale. Pour avoir
refusé
les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations
7
relations sociales et internationales, pour avoir
refusé
obstinément tout ce qui lésait si peu que ce soit notre confort, notr
8
r de nous un dépassement de nos égoïsmes que nous
refusions
à l’amour, pourquoi donc voulez-vous que nous ayons l’amour, et la pa
9
l espoir n’est plus possible, sachons-le, si nous
refusons
maintenant encore d’envisager les causes du désastre. Envisager, c’es
10
ités dures. Car tout le mal est venu de les avoir
refusées
, avant qu’elles montrent leurs effets aux yeux de tous. Mea culpa de
11
s inconséquents : tant que je ne les aurai pas vu
refuser
l’argent de l’État, je ne pourrai pas prendre au sérieux leurs convic
12
perpétuelle » : cela signifie simplement que nous
refusons
d’envisager son abandon, et que nous le refuserons aussi longtemps qu
13
ge, il s’en faut, c’est plutôt une manière de lui
refuser
cette considération bourgeoise qui s’attache aux carrières monotones.
14
c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’elle s’y
refuse
, il faut la réformer. Après quoi l’on pourra rebâtir un État… ⁂ La sa