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rquoi la Suisse n’est entrée que dans l’AELE et a
refusé
jusqu’ici d’entrer dans la CEE. Parce que l’AELE n’a que des buts éco
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enis de Rougemont, est cette forme de l’amour qui
refuse
l’immédiat, fuit le prochain, veut la distance et l’invente au besoin
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r ces autonomies seront perdues une à une si nous
refusons
l’union qui, seule, ferait leur force ; mais en retour, cette union n
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le qui permet la passion, cette forme d’amour qui
refuse
l’immédiat. Dans un livre, Les Mythes de l’amour , j’ai analysé troi
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ussi de ce grand paradoxe qu’une contestation qui
refuse
de discuter avec la tradition s’annule en supprimant tous les critère
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oyen, et dans la mesure où en tant que citoyen il
refuse
certains « faits », veut changer les données d’un phénomène, il n’est
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avais ce qui m’attend « là-bas » en l’an 2000, je
refuserais
sans doute d’avancer, j’irais plutôt chez les hippies. Mais je me tro
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raît inévitable si nos États-nations persistent à
refuser
toute forme d’union fédérale et de distribution du pouvoir étatique c
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tuelle. (Le pluralisme, le goût de différer et de
refuser
sont en effet les attributs des seules élites. Le passage de la masse
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entale et absolue. L’objecteur de conscience, qui
refusait
le service militaire, aura perdu sa motivation particulière avec la f