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ce. Nous en appelons aussi aux isolés, à ceux qui
refusent
l’engagement partisan, qui se méfient des plans et demandent à voir,
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supérieure et de ses antiques traditions, mais on
refuse
d’en payer les frais courants ; l’Américain se demande si l’on y croi
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n, l’on ne pourra jamais satisfaire. Trop de gens
refusent
encore de voir que la santé de chacun de nos pays ne pourrait être re
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r raison, du moins par consigne ; une Espagne qui
refuse
les droits de l’homme, tout en adhérant cyniquement à l’Unesco ; une
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ière de leur chute, c’est qu’ils voulaient ce que
refuse
encore un petit nombre dominant de leurs députés : l’Europe unie. (Et
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ctive. Que se passe-t-il alors ? La France, ayant
refusé
l’Europe au nom de ses colonies, perd ses colonies. L’Italie ayant re
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e ses colonies, perd ses colonies. L’Italie ayant
refusé
l’Europe par la faute des néo-fascistes et monarchistes, est livrée a
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livrée aux communistes. La Grande-Bretagne, ayant
refusé
l’Europe au nom de l’Empire et de l’amitié des USA, voit plusieurs Do
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tournent d’elle. Les socialistes allemands, ayant
refusé
l’Europe au nom du pacifisme, ont une armée allemande. Les nationalis
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rmée allemande. Les nationalistes français, ayant
refusé
l’Europe au nom de l’armée française, ont une armée allemande. Ou à d
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délégués officiels des parlements de vos pays. Le
refuser
comme base de travail équivaudrait en fait à récuser, en tant que sou
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e accepté pour le moment ? Or, il faut commencer.
Refuser
de partir d’un tel Projet, ce serait se condamner soit à l’échec de t
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s est proposé paraît propre à les faire mûrir. Le
refuser
serait faire perdre à l’Europe le temps qui peut suffire à d’autres p
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où elles ne seront plus guère que des prétextes à
refuser
l’union qui nous sauverait. Il est absurde de parler de la souveraine
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en autarcie. Renoncer à des droits illusoires, ou
refuser
d’y renoncer, ces deux gestes manqueraient également de sérieux. Il n
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tres. Certains risques doivent être encourus. Les
refuser
, pourtant, serait tout perdre, à coup sûr et à bref délai. On compare
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ors des débats où elles figurent comme prétexte à
refuser
les évidences européennes ? Voyons le concret. La souveraineté natio
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quel que soit le nom qu’on lui donne ou qu’on se
refuse
à lui donner. Ayant ainsi tenté de définir le sens dernier de la rech
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s » aux yeux des dirigeants soviétiques — et déjà
refusées
par eux — que présentaient récemment à Genève les ministres occidenta
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la culture. Nous avons toutes les raisons de nous
refuser
avec énergie à cette éventualité. Nous n’avons rien à redouter, pour
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recevoir que des œuvres de second ordre — ou déjà
refusées
par de nombreuses maisons d’édition. Quant aux manuscrits encore inéd
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nous demande : quelles seront ses limites ? Nous
refusons
cette question mal posée. Car une culture ne saurait être définie par
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çaise, un jeune commissaire spécial de police lui
refuse
l’entrée. Longue discussion, le ton monte, et le commissaire s’écrie
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, sollicité de prendre la direction de l’affaire,
refuse
, jugeant le projet « trop théorique ». Enfin, peu avant la Seconde Gu
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oration polonaise, l’ordre Virtuti militari. « Je
refusai
, écrit J.H.R., l’un de mes rares complexes étant de détester les titr
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marquée pour les efforts physiques. Il avait donc
refusé
tout entraînement autre que théorique53 et ne se sentait guère souten
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ies vénériennes. Horrifié par l’entourage, J.H.R.
refusa
pendant des jours de se laisser baigner ! Mais bientôt, il s’arrangea
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l Harriman et Adolf Berle. Mais à Prague, Masaryk
refusa
, crainte de Moscou. Et Molotov ne répondit pas à une lettre que l’amb
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inrent à la langue sacrée furent ceux qui avaient
refusé
de prendre part à l’œuvre et s’étaient tenus à l’écart, couvrant d’im
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e, si ce n’était pour faire quelque chose ou pour
refuser
de faire quelque chose, le libre choix de cet acte ou de cette absten
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dépendance et leur souveraineté absolue, dont ils
refusent
de rien déléguer à une autorité supranationale, fédérale — et alors i
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e ; ou au contraire elle leur sert de prétextes à
refuser
toute délégation de pouvoirs à des organes fédéraux. Mais elle ne peu
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droite s’en réjouit. Seul, un député de Nancy ose
refuser
le salut à l’État, tel Guillaume Tell. 4. Le seul problème politiqu
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neté absolue et s’en autoriser non seulement pour
refuser
toute mesure d’union concrète mais pour justifier des conduites crimi
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aturel et du confort des citadins, c’est elle qui
refuse
encore, parce que trop coûteuses, les normes et régulations qu’il s’a
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ple et à la suite d’intellectuels bourgeois, mais
refuse
elle aussi les mesures nécessaires pour arrêter la pollution, parce q
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ns Tel Quel. (N. B. « Les jeunes pensent… disent…
refusent
… exigent… » Si l’on s’en tient aux nombres, les mouvements fédéralist
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ait toute « signifiance », pour peu que la police
refuse
de jouer le jeu et de tenir son rôle convenu dans le rite des émeutes
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r réel, parce que la cité sociale dont l’individu
refuse
désormais d’être séparé représente la vraie nature sociale de l’homme
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de préférer une autre langue, chaque maître peut
refuser
de donner ces leçons ! Et du côté officiel, on ergote sur la qualité
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’un mythe, quand elle n’est pas simple prétexte à
refuser
de s’adapter aux réalités du xxe siècle. Les politiciens courtisent
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ils se réclament toutes les fois qu’il s’agit de
refuser
quelque mesure d’union n’est plus qu’un mythe. On l’a vu lors de la g
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utre existence que négative. En son nom l’on peut
refuser
, mais on ne peut rien bâtir, rien payer, rien unir et rien créer. On
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nnonçait les deux guerres mondiales, inévitables,
refusées
certes par la conscience des peuples mais inscrites dans les inconsci
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l’autonomie que l’État temporel avait obstinément
refusé
de satisfaire. Il était beaucoup trop tard pour que Rome, en reconnai
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dans un peuple que toute sa tradition préparait à
refuser
le nouveau, le moderne, comme représentant l’erreur même : il faut do