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par l’État et par les bavards radiodiffusés. Elle
refuse
la dictature, parce que le centre vivant d’un pays n’est pas dans un
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e justification du monde injuste, une occasion de
refuser
le premier pas dans l’immédiat. Alors, n’acceptons-nous plus un seul
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traîne une conséquence beaucoup plus grave : elle
refuse
l’homme qui a fait l’Europe et dont l’Europe a pour mission de favori
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u’elle voie le jour aussi longtemps que les États
refuseront
de rien céder de leur souveraineté nationale. S’agirait-il enfin de l
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-delà des exigences écologiques régionales niées,
refusées
, minimisées par l’État-nation qui a peur qu’elles le divisent, il y a
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ences écologiques continentales, également niées,
refusées
ou minimisées par l’État-nation qui a peur qu’elles le dépassent. Le
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ire. Elle a pour formule réelle — même là où l’on
refuse
encore ce nom — la fédération, non la masse ; et non la tyrannie d’un
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ux autres de complaisance. (M. Craxi a d’ailleurs
refusé
la démission qu’ils lui offraient.) 4. Le cas de la RFA Là enc
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rains qui, pour mieux affirmer leur souveraineté,
refusent
de se fédérer à l’Ouest, ou qui, n’ayant qu’une souveraineté surveill
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veraineté de l’État ne peut donc plus servir qu’à
refuser
ce que l’on déteste. Ce n’est plus toute-puissance, mais puissance de
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Ce n’est plus toute-puissance, mais puissance de
refuser
, et bloquage de toute solution incompatible avec la prétention que l’
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er plan, et de tous les partis, je le répète, qui
refusent
à l’unanimité la fédération européenne et l’autonomie des régions, sa
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mot — j’ai appris que la motion Jacquet avait été
refusée
. Tout simplement. 3. Le Conseil de l’Orangerie. Suite, sans nul dout
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mesures qu’elles commandent. Libre à certains de
refuser
l’Europe, mais alors qu’ils le disent clairement. Nous avons le droit
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bsistantes des membres. Qui oserait, aujourd’hui,
refuser
cela ? Si le présent article n’avait d’autre utilité que de poser la