1
renient eux-mêmes. Il est donc vital pour nous de
refuser
ce défi, de déjouer ce calcul, et de ne pas opposer à la violence une
2
e ; je veux dire que la force du faible, c’est de
refuser
le jeu du fort, et de le déconcerter par ce refus. Je lis dans un ouv
3
e son pays ; je vous le dis aussi comme chrétien.
Refuser
le jeu de l’agresseur violent, c’est le premier devoir du chrétien. D
4
usses et les païens racistes ont fait ce que nous
refusions
de faire. Ils l’ont fait mal, et contre nous. Ils représentent notre
5
ns ne craignaient pas de passer pour athées : ils
refusaient
le culte de l’idole et s’en moquaient. Nous aussi nous devons rire de
6
i la plus ancienne, celle des Apôtres, et se sont
refusés
à faire commerce de leur religion. De 1526 à 1574, nous trouvons de n
7
unauté. Cette œuvre n’est pas utopique. Car je me
refuse
à nommer utopie le seul espoir qui nous soit accordé. Encore faut-il
8
upide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui
refuse
d’envisager la vie comme une totalité orientée par l’esprit. L’esprit
9
profit d’argent et l’augmentation du confort. Il
refuse
de se demander à quoi servira cet argent ou si le confort matériel fa
10
des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a
refusé
pendant cent ans d’envisager ? Pourtant, les plus grands hommes du de
11
ières excuses. Nous avons été avertis. Nous avons
refusé
d’écouter. Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injust
12
s impérieuses de la défense nationale. Pour avoir
refusé
les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations
13
relations sociales et internationales, pour avoir
refusé
obstinément tout ce qui lésait si peu que ce soit notre confort, notr
14
r de nous un dépassement de nos égoïsmes que nous
refusions
à l’amour, pourquoi donc voulez-vous que nous ayons l’amour, et la pa
15
l espoir n’est plus possible, sachons-le, si nous
refusons
maintenant encore d’envisager les causes du désastre. Envisager, c’es
16
ités dures. Car tout le mal est venu de les avoir
refusées
, avant qu’elles montrent leurs effets aux yeux de tous. « Mea culpa
17
nt jusqu’à toucher le sol de leur front, pourquoi
refuserions
-nous de nous agenouiller pour la prière publique, ou pendant la lectu
18
t devenue un tabou, aussi sacré que l’égoïsme. On
refuse
de la discuter, parce qu’on craint que cette discussion n’aboutisse à