1 ême bruyamment. C’est là le fait d’une âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur la place. Un peu plus de souffr

2 d’avoir su vieillir, celle de Rimbaud de s’y être refusé . Transportez la dialectique faustienne dans la vie d’un être jeune et

3 s aspects superficiels d’une civilisation dont on refuserait de dénoncer les principes ou plutôt la carence de principes directeur

4 du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vit

5 semble bien que Saint-Évremond ait jusqu’au bout refusé de choisir. Il croit pouvoir entretenir avec Dieu des rapports de pol

6 cer leur absurdité réelle, en même temps qu’il se refuse à toute interprétation, c’est-à-dire à toutes les conventions inventé

7 ie de croquet, la discussion avec le bourreau qui refuse de décapiter un chat dont la tête seule est visible, etc.). Et pourta

8 ons de Bossuet, avec une vive admiration, mais se refuse à Kierkegaard, qu’il juge « trop long ». Marquant ainsi bien franchem

9 reliait, au monde du christianisme, même s’il en refusait les dimensions profondes. J’ai dit qu’il se méfiait d’une certaine « 

10 ace du Juge, ou mêler vanités et salut. Si Gide a refusé totalement quelque chose, c’est justement le totalitarisme, qui est l

11 . L’utopie est recul devant le temps ouvert, elle refuse d’affronter cette situation béante qui fut celle des premiers chrétie

12 mesure où il se referme sur soi, c’est-à-dire se refuse à l’amour. Et de même le « vrai moi » n’est pas le bien en soi, car i

13 le monde avec elle. Car le monde ne doit pas être refusé mais dissous.92 — Je veux voir l’autre en sa réalité, qui est unique