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phiquement, ils n’ont aucune raison sérieuse pour
refuser
le marxisme-léninisme. (Professionnellement, par contre, ils en ont q
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e « civilisation » ait imposée à l’homme. Si nous
refusons
« l’ordre » établi, nous ne refusons pas moins les « révolutions » ét
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mme. Si nous refusons « l’ordre » établi, nous ne
refusons
pas moins les « révolutions » établies, également soumises au primat
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Et d’autre part, voici les dilettantes : ceux qui
refusent
d’enseigner quoi que ce soit, et même de savoir ce qu’ils disent, par
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ulture constituée et transmise par des hommes qui
refusent
de rester responsables personnellement de leur activité constitue un
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e d’Uzès en 1675) ; — la faction réformée, qui se
refuse
énergiquement à se laisser imposer « la religion du roi » ; — la fact
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ment leur être subordonnées. Exemple : un éditeur
refuse
un livre dont la valeur artistique lui paraît évidente, mais qui ne p
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onfondre avec les directives tactiques de Moscou,
refuse
avec indignation l’épithète de « matérialiste ». Il n’a pas assez de
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r : dès la fin du xiie , les marchands de Londres
refusent
l’entrée de leurs guildes aux « ongles bleus », c’est-à-dire à ceux d
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talisme moderne Les économistes « sérieux » se
refusent
à peu près tous à assimiler le capitalisme moderne aux formes économi
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, n° 36) ; « Tentation de l’unité » et « L’Homme
refuse
», par C. Chevalley et A. Marc ( L’ON , n° 37 et 38). ac. « L’autori
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eur soin à vivre en marge de tous les conflits et
refusaient
d’être considérés comme des citoyens responsables, ils étaient au moi