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en question les questions elles-mêmes. Nous nous
refusons
, de plus en plus, à discuter sur des nuances métaphysiques arbitraire
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réalité, que dans la mesure où l’on est décidé à
refuser
tous les conflits concrets et les décisions qu’ils comportent. Nous r
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concrets et les décisions qu’ils comportent. Nous
refusons
toute problématique dans laquelle nous croyons distinguer une évasion
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heté. Le chrétien le considère comme un homme qui
refuse
d’accepter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans ces
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ement appuyer ; car l’œuvre de la chair, c’est de
refuser
Dieu, même alors qu’il se rend visible. Et ce n’est point parmi les m
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n. Il ne sera pas dit que le croyant, parce qu’il
refuse
toute solidarité avec la forme du monde présent, refuse aussi toute s
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toute solidarité avec la forme du monde présent,
refuse
aussi toute solidarité avec l’espoir de ceux qui souffrent et qui cré
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nous aurions dû faire dans la foi. — Mais si l’on
refuse
d’attaquer le socialisme, faudra-t-il accepter aussitôt le fameux tra
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la foi. J’ajouterai cependant une remarque. Si je
refuse
d’adhérer pratiquement au socialisme, c’est d’abord à cause du marxis
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à toute action dans le cadre du parti. Mais si je
refuse
ce parti, c’est aussi parce qu’il est un parti, précisément. Tout le
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rir que ces négations nécessaires. Car on ne peut
refuser
ce qui existe qu’au nom d’une volonté de création. Je vous proposerai
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tiens ne l’ont pas ? Où voulez-vous aller si vous
refusez
cette chance ? Et comment un chrétien pourrait-il m’opposer les objec