1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1 Dieu est mort nous dit seulement que l’homme doit refuser Dieu tel que Sartre l’imagine : gênant pour l’homme. Il n’en résulte
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
2 ard du peuple d’Israël. Tout dépend de lui, et il refuse  ! D’où la haine sourde, et en même temps le respect religieux qu’on l
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
3 ou André Breton, ne cherchent pas à faire beau et refuseraient sans doute de dire que la beauté est le but de leurs ouvrages. Que ce
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
4 ée. Elle ne sauve que ceux d’entre les hommes qui refusent totalement ce monde et s’attendent totalement au Royaume. Ce refus, c
5 erre, à la misère, à l’oppression, s’il ignore ou refuse « la seule chose nécessaire », le seul gage du salut total ? Alors, v
6 tion dont vous parlez ? Sur une foi que ma raison refuse , et qu’elle m’ordonne d’ignorer. Je ne vois pas les effets d’une tell
7 le christianisme le plus « activiste ». Pourquoi refusent -ils de s’occuper de politique ? Comment se fait-il qu’un grand nombre
8 ngélise ! », disait l’Apôtre. Malheur à moi si je refuse de réaliser l’Évangile dans tous les domaines de la vie. La seule lut
9 onne tort qu’à l’homme, non à la foi dont l’homme refuse les ordres. 39. Je prends l’expression dans ce sens, qui n’est pas l
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
10 quel que soit le nom qu’on lui donne ou qu’on se refuse à lui donner. Ayant ainsi tenté de définir le sens dernier de la rech
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
11 terre.) Troisième exemple : Calvin s’est toujours refusé à établir une uniformité de gouvernement pour les diverses Églises qu
12 it en restant capitaliste et nationaliste, et qui refusait de se fédérer. Hitler abat les barrières, le passé. C’est toute sa fo
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
13 t qui imposa leur angle de vision même à ceux qui refusaient leurs thèses ou contestaient leurs arguments. Il s’agit, au plein sen
14 r la main pour demander la permission — qu’on lui refuse . Aucun ne peut garder seul ses colonies. Aucun ne peut vivre en autar
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
15 sens paulinien. Dans cette mesure, il ne saurait refuser la question que lui pose le monde présent, et que ne lui posait pas l
16 es qui cependant ignorent ses dogmes, ou même les refusent , c’est bien le christianisme d’empreinte occidentale. Aucune autre gr