1
rsel —, mais de toutes les fibres de son être, il
refusait
le stato-nationalisme au front bas. L’Europe pour laquelle il n’a jam
2
rait la synthèse se verrait opposer une œuvre qui
refuse
la synthèse et lui préfère la « tension ». Notre travail a débuté en
3
compris ce caractère religieux d’Auguste, qu’ils
refusaient
d’adorer César en tant qu’Auguste, qu’ils ont été persécutés. 25 octo
4
ces autonomies seront perdues une à une, si nous
refusons
l’union qui ferait leur force ; mais en retour, cette union ne saurai
5
nomie, aucune diversité réelle. À l’extérieur, il
refuse
toute union, alléguant une indépendance et une souveraineté absolues
6
’individu, avec tous les droits que l’on pourrait
refuser
à l’individu, personne privée, mais qu’on ne peut plus refuser à la m
7
ndividu, personne privée, mais qu’on ne peut plus
refuser
à la majesté de l’État. 22 novembre 1968 La volonté d’unification de
8
c’est en l’invoquant que nos pays peuvent encore
refuser
de s’unir. 5. État-nation et guerre 3 juin 1966 Les États sont
9
aucun n’est réellement indépendant, même s’il se
refuse
à le dire. L’État-nation est à la fois trop petit et trop grand : tro
10
urope n’est plus elle-même), le nationalisme (qui
refuse
l’union durable et n’accepte de coopérer que pour des raisons tactiqu
11
nt dans la pensée de Hegel et dans la sienne, qui
refusait
la synthèse. Il s’en tenait à une dialectique en deux points, thèse e
12
L’autre approche, celle de Proudhon par exemple,
refuse
la synthèse et voit dans la contradiction toujours ouverte, le moteur
13
r amour de la paix, hélas unilatéral. Ou quand on
refuse
une augmentation de salaire dans une branche de l’industrie, que c’es