1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 connaît l’épaule dans le talonnage du ballon. Le regard connaît le regard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la présenc
2 dans le talonnage du ballon. Le regard connaît le regard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la présence muette et sûre.
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 ofonde ; je devins si faible et démuni, livré aux regards d’une foule absurde, bienveillante, repue, — tous paraissaient déteni
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 ée propose un mystère qu’on oublie pour celui des regards étrangers. Et voici la place régulière, les galeries, les cafés, les
5 nuit vibrante, intérêts, politesses, politiques, regards , musiques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve éternisé d
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 qu’on aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un regard , un certain regard, mais j’ai su en retrouver la sensation jusque dan
7 tte femme ! elle n’était qu’un regard, un certain regard , mais j’ai su en retrouver la sensation jusque dans les choses — et c
8 e, mais dans le lointain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un halo, comme le
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
9 i-même » (décembre 1928)m « Remonte aux vrais regards  ! Tire-toi de tes ombres… » Paul Valéry. Stéphane est maniaque, comm
10 tigué, il veut voir encore cette fatigue dans son regard  : appuyé sur lui-même il se perd en méditations éléates. Le sommeil l
11 révélation. Peut-on s’hypnotiser avec son propre regard  ? Il n’y a plus que cette incantation à soi-même qui pourrait lui ren
12 définir, par défiance envers les dieux. À chaque regard dans notre miroir, nous perdons une Eurydice. Les miroirs sont peut-ê
13 rrite toujours vaguement. Mais il fuit son propre regard , il se cherche dans d’autres yeux, c’est pourquoi il fait peur à cert
14 e plus en plus frappante, il croit saisir dans un regard de cette femme l’écho de ce qui serait lui. Déjà il se perd dans ces
15 « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards . Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton visage me cache tous les
6 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
16 s’entrouvre un feu rose éclôt voici ton heure au regard le plus pur je suis à toi dans le triomphe du silence sereine tu es t
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
17 u mépris et à l’adoration : où que se portent nos regards , ils rencontrent des talents distingués. À cet ordre d’ambition convi
18 3. Si nous jetons sur les lettres parisiennes un regard distrait mais circulaire, comme dirait Aragon — et je suppose que Bea
8 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
19 ntôme ne manifeste rien d’autre que la qualité du regard qui le perçoit. Dis-moi qui te hante… Ainsi, la vulgarité évidente de