1 Il vit dans le désir et dans la nostalgie, et son regard n’est pas une vision dans un visage, mais une manière de loucher vers

2 campagne serait une solution commode, surtout en regard des souffrances qu’il sait trop bien que lui vaudront ses attaques co

3 s romans : Le Procès, Le Château, et Amérique. Le regard qu’il y porte sur le monde est d’une précision proprement angoissante

4 même ceux-là qui déplorent qu’elle se fasse, aux regards de la convoitise, « opaque »36. Que pouvais-je tirer de tout cela ? R

5 ’impression qu’il a d’être mal défendu contre les regards qu’il rencontre, transparent dirait-on, — sans ombre ! Voilà, peut-êt

6 ume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards et l’on ne dira pas : il est ici, ou bien : il est là ! Car voici que

7 re. On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard , on argumente contre sa souffrance, on craint pitié corrosive. Finale

8 en général — quand je ne fais que les jauger d’un regard — et sympathie violente, « élan vers », dès que mon regard s’attache

9 et sympathie violente, « élan vers », dès que mon regard s’attache un peu longuement à un visage, au corps et aux vêtements, a