1
r de nouvelles conquêtes. Terriblement lucide, ce
regard
en arrière. Montherlant est dur pour ses erreurs plus encore que pour
2
ns la « Cité secrète » de la vie privée, quelques
regards
sur la foule suffisent pour en préciser les conséquences. C’est ainsi
3
ut de son expérience déjà riche de romancier. Son
regard
se promène sur le même monde où se plaisent nos jeunes poètes cosmopo
4
rès, mais ne l’ait point trompé : « Avec son beau
regard
de rêve, — lit-on dans l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse d
5
re : « Tout semblait vivre au fond d’un insistant
regard
. » Le poète des Gravitations est ici descendu plus profond en soi-mêm
6
faut-il venir du Japon pour accueillir du premier
regard
, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un
7
urient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers
regards
aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de m
8
expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes
regards
errant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon salut : « Peter S
9
e que ce lieu — inquiétant à la façon de certains
regards
lucides qu’il arrive qu’on porte sur la vie, tout d’un coup, à trois
10
débauche. Notre liberté de penser est absurde au
regard
des contraintes que subissent nos gestes. Imaginer ce qui se produira