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ncement « sont en ressemblance et voisinage ». Ce
regard
rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement co
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ovoquer dans notre esprit l’étonnement du premier
regard
, c’est la similitude de forme, c’est-dire la similitude essentielle,
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pleine possession de ses forces et l’assurance du
regard
. L’âme, purifiée de sa « vieille dépouille » par l’effort aveuglant d
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bouche et ce front, disent d’un sobre et méditant
regard
le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : «
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-derrière, et rit. C’est un long enfant maigre au
regard
narquois et inquiet, et qui s’est mis une barbe rousse pour avoir l’a
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n que pose Fondane : « Ils suivent Kierkegaard du
regard
— mais où en sont-ils de leur propre démarche ? » Oui, cette question
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froid à travers une brume lointaine agrandit les
regards
sans nourrir la vision. Pas de mouches dans la lumière au ras des lan
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ïciser. Point d’anticléricalisme, car « devant le
regard
positif, toute religion finit par être vraie », et même « l’obligatio
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able. Mais à trop se regarder, on ne vit plus. Le
regard
, ici, crée ce qu’il cherche… » Or, en écrivant cela, Gide n’a-t-il po
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ra l’œuvre de Kalki, dernier avatar de Vishnu. En
regard
des ordres de grandeur, si prodigieusement différents, attribués par
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ici, non romantique !) il se situe au point où le
regard
de l’âme reconnaît soudain dans l’Aimé cette Forme sensible du divin,
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. Un point seulement, sans étendue, mais selon le
regard
que nous portons sur lui, il en jaillit un monde ou l’autre : l’Occid