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tigué, il veut voir encore cette fatigue dans son
regard
: appuyé sur lui-même, il se perd en méditations éléates. Le sommeil
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e révélation. Peut-on s’hypnotiser par son propre
regard
? Il n’y a plus que cette incantation à soi-même qui pourrait lui ren
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iance envers les dieux, avarice du cœur. À chaque
regard
dans un miroir, nous perdons une Eurydice. Les miroirs sont peut-être
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rite, toujours vaguement. Mais il fuit son propre
regard
, il se cherche dans d’autres yeux, c’est pourquoi il fait peur à cert
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e plus en plus frappante, il croit saisir dans un
regard
de cette femme l’écho de ce qui serait lui. Et déjà il se perd dans c
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« la mort » se conjuraient pour abaisser tous les
regards
. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton visage me cache tous les
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même ceux-là qui déplorent qu’elle se fasse, aux
regards
de la convoitise, « opaque ». Que pouvais-je tirer de tout cela ? Rie
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, d’où l’impression d’être mal défendu contre les
regards
qu’il rencontre ; transparent, dirait-on, sans ombre ! Voilà peut-êtr
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approche des yeux, dès qu’ils ont accepté tout le
regard
de l’autre : sentiment comparable au vertige. Le jugement peut rester
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que l’âme s’extériorise et tombe sans fin dans le
regard
unique. Durant certaines secondes, elle dépasse le temps, s’approche
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ès encore, l’œil vient à perdre toute expression,
regard
absolu de l’angoisse. Si l’un s’écarte à ce moment, les voici vacilla
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rit se tourne vers les choses et les dénomme d’un
regard
. Un corps auprès du mien respire, mémoire pesante de l’incommensurabl
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Contribution à l’étude du coup de foudre Un
regard
dans un regard et les voilà fixés, cloués sur place, comme le coq est
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n à l’étude du coup de foudre Un regard dans un
regard
et les voilà fixés, cloués sur place, comme le coq est cloué sur la l
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s ce piège à méditations symboliques ! Combien de
regards
aussi, apparemment stupides, apprirent à déchiffrer les circonvolutio
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ar les jours de colère intraitable. Je dardais un
regard
de flèche vers ce nœud de vipères impassible. Des vengeances profonde
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r de ses dévotions. Devant le nœud, après un long
regard
, elle dit : Ce n’est pas si ressemblant que cela ! (Elle croyait que
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anisme qui l’annule. Mais on dirait aussi que son
regard
, dès qu’il l’élève avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. É