1 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
1 le allemand qui vivait désarmé et humilié sous le regard de ces milliers d’yeux » (Mein Kampf), il supprime le Juge, il suppri
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
2 , se sont tant agrandies qu’elles ont échappé aux regards  : elles sont devenues chiffres abstraits, puissances lointaines, dont
3 enue trop gigantesque pour être dominée d’un seul regard . Une seule intelligence ne peut plus en comprendre et en maîtriser le
4 irez présent, dans sa force immobile, derrière le regard de l’être sans amour. Et partout où l’amour est contrefait, vous le r
5 l’on rejette un être, dans le temps d’un premier regard . Voici l’accueil, et l’on entre en passion comme on entrerait en reli
6 visagés un certain temps : je ne trouvais pas son regard , il me semblait que ce regard fuyait très loin dans ses yeux et me re
7 ne trouvais pas son regard, il me semblait que ce regard fuyait très loin dans ses yeux et me rejoignait par-derrière, je ne p
8 ement. D’une certaine manière, c’était mon propre regard qui traversait ses yeux et revenait sur ma nuque. À l’instant où je l
9 et tard confondus, ou plutôt embrassés d’un seul regard .) Que faudra-t-il encore pour que nous comprenions l’étendue de la ca
3 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
10 porter sur Satan et sur ses sinistres desseins un regard qui toujours les déconcerte, et les fait parfois s’évanouir avec un d
11 et de la paix profonde du pardon, et baignons un regard aux étendues de pureté ardente et dure du bleu du ciel au cœur du jou