1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 arre droite au travers d’un tableau. Nos yeux ont regardé longtemps — où va l’âme durant ces minutes ? — jusqu’à ce que les bœu
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 cette tulipe bizarre, cette tête prisonnière qui regarde ailleurs… Qu’il sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il voi
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 la sur les dés, et partit d’un long rire. Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me regarder bizarrement et j’étais possé
4 Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me regarder bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se lev
5 nt rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec inquiétude, parce que je ne suis plus tout à fait le même. Puis
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 usa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimuler nous trahi
7 mprends que l’Europe est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je vois se perdre ce sens des correspondances secrètes et s
8 peine à toucher leurs sens fatigués et épaissis. Regardez ces yeux mornes, ou luisants de concupiscences élémentaires : Ce sont
9 de gravité et de détachement. Je viens souvent la regarder , à cause de la noblesse de sa danse. Je la nomme Clarissa, parce que
10 u genre le plus conventionnel qui soit. Gérard la regarda avec une certaine pitié : « Chère enfant, dit-il doucement, pauvre co
11 omard avec toutes sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’un œil las, trop las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un p
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
12 obsédant. Stéphane passe des heures entières à se regarder dans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sent
6 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
13 Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Maintenant je suis seul à redescendre au
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
14 s un journaliste, un libéral et un jeanfoutre qui regardaient travailler un maçon. Le maçon creusait et défonçait, or on lui avait