1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
1 ui fait nombre à celui qui fait loi, de celui qui regarde à celui qui s’engage. Nous pouvons voir ensuite un premier caractère
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 : Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde . » Ne vient-il pas d’avouer le dernier mot de la sagesse cléricale, l
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
3 es clercs s’écrient : Esprit ! Esprit43 ! Mais je regarde leur visage. « Si c’était vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de tout
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 loucher avec méfiance vers les empires étrangers. Regardons -les en face, connaissons-les : c’est le seul moyen de nous reconnaîtr
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
5 es. Voilà bien la vision classique : « Cessons de regarder les maisons : ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souvien
6 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
6 le même goût de la production en masse et sans y regarder de trop près, du travail par équipes, pour battre un record, du gaspi
7 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
7 es masses industrielles, dans leur partie active, regardent vers la Russie, et les grands hommes d’affaires regardent vers l’Amér
8 t vers la Russie, et les grands hommes d’affaires regardent vers l’Amérique. À tort ou à raison — je n’en juge pas ici — ils s’im