1
et se tromper mortellement. Il suffit pourtant de
regarder
autour de nous et d’en croire nos yeux. I. L’homme qui a réussi
2
e prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi me
regardez
-vous ainsi ? tonna le Procureur, qui cherchait à intimider Eiichi. Ei
3
hie. — Qu’est-ce que cela veut dire ? Pourquoi me
regardez
-vous aussi insolemment ? Le Procureur continuait à enrager ; sa figur
4
, quatre, cinq minutes s’écoulèrent. Le Procureur
regardait
distraitement son carnet de notes. Il tremblait jusqu’au bout des doi
5
ne fois, désespéré, — « heureusement, personne ne
regardait
, il se jeta par terre sur la route, criant à son corps : “Meurs !”, m
6
e chose extraordinaire : soudain c’est lui qui me
regarde
et qui me perce, — et me fait honte d’oublier la grandeur. 25. Rema
7
et dans un sens plus vaste, la religion, que cela
regarde
. M. Nizan demande inlassablement ce que les philosophes bourgeois fon
8
! Expression curieuse et bien moderne ! Si nous y
regardons
de près, nous allons voir que le simple assemblage de ces deux mots,