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uvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent. Je
regarde
par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Ma
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tons. Leurs sorts ne sont pas moins liés, si vous
regardez
l’Europe dans l’ensemble du monde. Vos cordons de douanes ne sont pas
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vertu des audacieux. Je me résume. L’opinion vous
regarde
. Elle n’entre pas dans les subtilités. Elle vous demande « Que voulez
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y sur le problème de l’unité européenne. Quand il
regarde
notre vieux continent, il n’y voit, si j’ose dire, que ce qui n’y est
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a depuis si longtemps conservée l’a disposée à se
regarder
comme la maîtresse de l’Univers, et à croire le reste du genre humain
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l’Amérique et celle de notre Europe en formation.
Regardons
-nous dans ce miroir ! Nous y reconnaîtrons nos anxiétés, nos erreurs,