1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ant à l’intérieur. Un arrêt (l’auteur se met à se regarder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie) et les forces centri
2 estitue qu’un dégoût. J’ai cru que je pourrais me regarder sans rien toucher en moi. En réalité, je n’assiste pas à moi-même, ma
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
3 ressemblait tant. Mais je n’osais presque pas la regarder , à cause d’une incertitude qui redonnait tout son empire à ma timidit
4 Saint-Michel, elle sortit, en me frôlant, sans me regarder . Je descendis derrière elle. Mais tout de suite des parapluies la dér
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
5 n lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde comme de l’autre bord, je songe qu’il est des visites à de certaines
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
6 op sincèrement. » Vers cette époque, une femme me regarda longuement. » Mes parents me savaient vierge et c’était la joie de le
7 in, ses cheveux avaient légèrement blanchi. Il me regardait avec une terreur ou je crus distinguer je ne sais quelle déchirante n
8 e passa, et une femme en robe bleue légère qui me regarda un instant, si doucement… Je me levai sans payer, je partis par les r
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
9 sé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez  : à côté de vous, si vous êtes seul, un fantôme, d’office, a pris pla
10 que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans
11 s noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles