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rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la
regarder
. Toutefois, noter les faits précis qui me paraîtront frappants ici ou
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s soirées attablé devant un verre de petit vin, à
regarder
le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novemb
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tout le monde ne pense pas comme ça ici ? — Il me
regarde
un peu étonné à son tour : « Qu’est-ce que vous voulez, il n’y a rien
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ement ce que vous pensez de cette soirée »… Je le
regarde
. C’est un homme simple et solide, on peut lui parler en camarade. — E
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double avertissement. D’une part elle m’invite à
regarder
plus objectivement ceux qui m’entourent, ce « peuple » qu’il s’agit d
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lors y en a-t-il plus qu’on ne croit… Je viens de
regarder
pendant un bon moment les consommateurs attablés autour de moi. Que l
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des conditions de vie précises et qu’il s’agit de
regarder
d’un œil actif. Février 1934 Les gens. — Du haut des dunes, je
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est peut-être dans le coin derrière. J’y vais, je
regarde
: rien. Ils l’avaient volée. Ça m’a fait comme une gifle ! J’en ai ét
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es prétendait le fuir par ce biais de ne le point
regarder
. La vue d’un homme de chair et d’os eût porté la déroute en son systè
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, je suis resté longtemps au marché, et j’ai bien
regardé
comme ils marchandaient et achetaient avec une convoitise, une attent
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es poulets. J’ai passé bien des heures déjà à les
regarder
. Ils ont chacun leur nom, et leur petite allure particulière. Je pass
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à gratter de leurs pattes, le bec en l’air, sans
regarder
où ils creusent ! Quel gaspillage dans les gestes instinctifs, — car
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liquer l’intérêt presque indéfini que je prends à
regarder
de près une bestiole à son ouvrage, ou simplement le grain de la terr