1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 un sérieux méfiant et résigné, presque sans nous regarder . À la fin de l’après-midi, nous trouvons enfin un propriétaire aryen.
2 .)   — Je me promène dans les grandes artères, je regarde les gens, je me dis : au fond, il n’y a pas eu de révolution. Tout es
3 rme. Le seul trait qui me frappe en lui, si je le regarde en psychologue, c’est la surhumaine énergie qu’il développe pendant u
4 erreur que nous commettons fréquemment, nous qui regardons l’Allemagne ou l’URSS du dehors ; nous croyons que tous ceux qui y vi
5 de la chaire, poser les deux mains sur l’appui et regarder son auditoire. Beau visage énergique et tourmenté, stature mince et t
6 age, et cela conduit au camp de concentration. Je regarde ce grand auditoire recueilli. Il n’y aura pas de heil ! hurlés quand