1 à ce qui est réel et unique entre nous : quand je regarde ma femme et quand je l’aime, c’est-à-dire quand je la comprends dans

2 s m’asseoir dans un fauteuil, croiser les jambes, regarder l’objectif, et tenir à la main un grand verre de whiskey ? L’agent.

3 obsédant. Stéphane passe des heures entières à se regarder dans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sent

4 anes. Elle figure « le miroir auquel la nature se regarde en nous ». Elle est ainsi l’agent microcosmique, la puissance même de

5 peut aimer qu’indéfiniment. Il n’aime que cela : regarder longtemps en silence, se perdre dans des yeux. (Certaines heures, soi

6 ntement mouvantes, un seul œil par où toute l’âme regarde et supplie avec une impérieuse tendresse. De plus près encore, l’œil

7 Bonne idée », fait-elle d’une voix basse, sans me regarder . Nous voici attablés devant des sandwiches au caviar rouge. Et là, to

8 Avec qui m’as-tu trompée », dit-elle enfin. Je la regarde longuement, bien en face. Aucun doute n’est possible. Elle sait. Mons

9 ontre l’homme, c’est-à-dire d’un esprit coupable. Regardons bien ce paysage imaginaire, cette composition simplifiée comme un arc

10 nde, irréfutable, s’arrêtait un peu en avant, les regardait sans indulgence, puis se remettait à marcher, conservant la même prox

11 . Vous voyez, c’est le contraire de ce qu’on dit. Regardez les morts et toutes leurs maladies — comme elle vous les nettoie, la

12 sait forêts, gens et maisons, étant admis… » Nous regardions le feu dans la cheminée. Je pensais à l’amour insatiable autant que l